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VARIANTES

U RÉ L IE,

Mourir ou te·sauver. Tu sais quel est mon pere :

En moi de ses vieux ans il voit l'unique appui.

est sensible, il m'aime, et le sang parle en lui.

Je vais lui déclarer le saint nceud qui nous lie ;

II saura que mes jours dépendent de ta vie.

Je peindrai tes remords : il craindra devant moí

D'armer le désespoir d'un gendre tel que tO\ ;

Et je te donne au moins, quoi qu'il puisse entreprendre

Le temps de quitter R.ome, ou d'oser t'y défendre.

J'arreterai mon pere au péril de mes jours.

A T 1 L 1

NA,

apres un moment de recueillement.

Je res;ois vos conseils , ainsi 'que vos secours.

Je me rends•... le sort change.... il faut vous satisfaire.

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R.emords, approchez-vous de ce cceur furieux.....

Écartez-la surtout: si je la v9is parahre,

Tout-pret

vou~ servir, je trernhlerai peut-etre.

C É THÉGUS,

Voi}.a votre chemin.

LI NA.,

111.'égarais,

je sors:

C'est le chemin du crime, et j'y cours sans remords.

Ont osé de Sylla montrer l'ambition.

Mallius, un soldat qui n'a que du couragc,

Un aveugle instrument de leur secrete rage,

Descend comme un torrent du haut des Apennins;

Jusqu'aux remparts de R.ome il s'ouvre les chemins.

Le péril est partout; l'erreur, la défiance,

M'accu.saient ftVec eux de trop d'intelligence.

Je voyais

regret vos injustes soups;ons

Dans vos cceurs prévenus tenir lieu de raisons.

Mais si vous m'avez fait cette injure cmelle ,

Le danger vous excuse, et surtout votre zel'e.

Vous le savez, César, ,,ous le savez , sé~;tt,

Plus on est soup<;onné , plus on doit

l'État.