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PAR
~en~~ii~~~~ :~~~e~:¡~~~~~ f~ftv:o:1~~s~~~fc{u~~e~
~::.:~!ªafp~~~~ii~~c' lil~~~cd~~¡;~~d~~~I
Íc
~~ti~:~
més les noms de
Dil:,lat
,
D1gla1h
>
Degtl. Degela
~~f,~~i: ~r;;~;:,~
;!
~~~~~r'v!~~-t~'d1~p~lcI:~eJ~
lic
qu'occupe ce
Fl~uvc, o~ ~cmarqucroit qu'~l
va
en cifer vcrs l'anc1cnnc Affyrn: , dom
la
capualc
écoir Ninive. Et le
qu:uriémc Flcuvc
enfin
cft
l'E.u-
~~~~~~; J~il~ ~o:~c(iv~~o~:a%i~~({::: ~~~~~en~~~~
rous ces caraélcrcs, par leíquc:ls Moyíe a voulu faire
rcconnoirre la füuation dn Paradis terrcílre , on
~~:;~:i ·,~U~ ~~~¡
1
t~;~;~r:~i~~~º~~~:~c~~~i~~r~~
pcuvcm convenir
i
a.ucune aurrc ni de
cdlcs
q~'on
a imaginées jufqu'ici en rrCs-grand nombre,, m de
ccllcs que l'on pcut imagincr , puifqu'il n'y a poinr
d'aurrcs Provinccs
de Chavilah
&
de Chus que ccl–
les
~l"
'il a marquées ,
oU
un Phifon
&
un Gcon fe
f.~\1;~~ ~r:iuJ.:~;ren~:~h~~re~ :~~~~ ~~¡p~:~~ ~~:~
qu'il faie une des qua.ere tC:tcs qui pamageoicm le
Flcuve done le Paradis tc:rreíl:re éroit nrrofé; ni en–
fin d'autre lieu que cclui oU
il
a placé ce Paradis ,
qui foir arrofé d'un Flcuve divifé en ces quaue
aurres.
On appelle
P1trAdis dt Mahomtt,
Un lieu qu'il
a imaginé
a
fa
famaifie , oU il a fair anendrc
a
ccux
d~!c~u~~~oÍcrn~~
loi , tous les plaiftrs quipeuvent
Quclques-uns appellent
PAr«Jil
,
en
termes
de
Marine, La parcie d'un pon oll les VaúIC:aux
fom
le plus en ffireré.
Pm·11d11,
fe die auffi d:ms les lieux oli l'on rcprc–
fc:nte !'Operaou la Comedie Jd'une cfpecc de Ga–
lcrie qui c:I\: au dcRUs des fccondes logcs.
PARAGE.
(.
m.
Vicux mot. NoblcJfc. C'eíl:
ce
qu'il
a fignifié originairement ,
a
caufe que taus es No–
bles (e pretcndcnt égaux en nobleílC.
Si 'VOUS
hts
dt grAndpAragt,
Jt llt fu1s
mi=
dt mt11011r.
On
3
dit auffi
Paraigt
&
P1trr0Jt·
Autrefois
ily
avoir des fiefs renus d'un Seigncur de plein
fi.ef.
qu'on difoit C:crc
Tm:1s
m
parAf.t
ou
enp.atrit.
LesValfaux éroienr égalemenr obligés de le íervir c:n
paix
&
en guern:. Les puinés rcnoienr leurs 6efs
;~ir:¡:ª$:r~~t~:r~~;;;~:t::s~ 6~d~fo~a~~
1
~
;!;
pardgt
,
en parlanr d'un ficf en pairic la plus éle–
vée , comme cellc:s des Pairs
&
Seigneurs mouvans
du Roi immediatcmcnr, qui avoienr éré
donn~es
en appanage
a
des Períonnes du íang Royal; ce
ql~¡
~~~~~t ªJ'·~~~c:~x~;:~i:~ ;~~~n~b~=~r,
Ceux qui
PilrAgt.
Terme de M3tine. Eípace. érendue de
mCl' fous quelque lacicude que ce puilfe C:cre. On
die que
Dts V111ffe1tHX dt J.1ttrrtfontmp11r.age;
pour
dire qu'Ils fonr
en
cenains endroits de la mcr, oU
ils peuvenr crouver cequ'i\s cherchent. On dicauffi
d'un VaiUC::au mouillé. qu'/J
tflt11 parAgt,
poufdi–
:~~~'Il
efl: en lieu oU
i~
peut 3ppareiller quand il
PARAGONNER.
v.
a. Vieux mor. Comparer, mec–
rrc en paullclc. On a dit aulli
Par.agon,
pourdi–
ce P:ltfOn, modele, íur quoi Nicod dir que
Pa–
rttgor. tjl Hnt chofeft tXCtlltmmtlJf p4rf .a1tt.,, t¡u'tllt
efl commt llnt ;dt't
,
Hn{tp
&
tj/t/011
.1
tollfts lts11u–
lrts dt fan efptu
,
&
ltf'futllts011rapp1rrt
&
comp.a–
rt
.f
/ui, pour Íft1'Uotr
ti
t¡Ht/ Jrgrl dtptrftfltont/lts
At1tignt11t. Amfid11-on"
Paragon de Chevaleric, de
PAR
pceud'homie de
f~avoir.
Et
tn ce,
pouríuit·il,
qui
lt vo11dro1t txtrairt d1
"lnl1,;.~¡m
dts G'rtcs
•
9"'
jigni–
jie .Admtntr
,
accondu1rt
,
Ct nt faroit p1ts hors
de
pro–
pos.
On le trouve quelquefois
écrirP.ara11go11,&
alors
on le derive de
.._,.'l".,,t~.f"l1
, J'écarte avec le
coude ceux qui s'approchenr de rrop prCs;
a
cau–
íc que le Parangon ne pc:uc avoir fon pareil en
fon efpece.
PAR A 1N S l. adv. Vieux mot. Ainli , par confc.–
quenc.
PARAKYNANCIE.
(.
t:
Terme de M<decine.
L'u.
ne des eípues en quoi quelqucs - uns diíl:inguenc
l'Efquinanc1c. C'eíl:quand les muícles externes des
~~r~~.~~~c:::;:q,~:X~L,az~xJ;~:~~::ª§~~q~:r.mot
PARALLAXE.
C.
f.
Terme d'Aflronomie.
L·A"c dH
FtrmAmtnt, compristntrtl1lítll'Vtrita6/e <lit#
1tpp1trt11t dt /'Aflrt qut fon obftrve.
AcAo. FR.
Ce
vrai lieu d'un Aíl:rc eíl: celui oU.
le rayon viíuel
paífant par le corps
de
l'Aíl:re abouciroit dans le Fir–
mamrnc, s'1l écoit tiré du centre de la terrc ,
&
que nou·e a:il
y
füt placé;
mai~·
commc nous ne
~~vél~ig:s
é¿udeu:~;~~~
5
n:u~uí~ª~:~~~~ ~~:~~e1~~
gnc , qui
paR3.ntpar fon corps •
&
allane
jufqu'au
Firmame
nr, marque un autre poinr qui
cíl:
fon lieu
apparem ;
&
c'd\: cene difference qu'on appellc
P1tr11/14xt,
du Grec
~~.,,
qui eíl: la mCme cho–
fe que
""'e5"~•'l~ ,
&
qui ftgnifie difference.
~d
ques-uns font Parallaxe maícullin. La Pamllaxe fe
diviíc: en P ..rallaxes de hameur Jde latimde
&
de
longimdeJ qui ne fonr ric:n autrc chofeque la diffe–
rence
qu'il
y
a entre la hameur, la laritude
&
la
longitude veritablc J
&
la hauteur, la latimde
&
la
~~~~~c;1~7u~~P;¡:~~~~ ~~;~:asl~:~l:e;¡~~cv~i~~abfe:
La plus grande parallaxe cíl: celle qui fe fair
J.
l'horifon ,
&
de
l:i
elle va toi'1jours en diminuanr.
Une planete qui eíl: au Zenit n'a aucune parallu:e,
~::c~~u~a~~~r~cs~ifºne: ~;~~sq~~1~~n~~~,~~ JI¡;~~:
Ces trois pbncces íuperieures , Saturne , Jupiter
&
Mars , nl: fonc poim de parallaxe , parce que
leur di.ftance de la rerre eíl:
ti
grande que la dif–
fcrencc du
demi~diamecre
de la tcrre deviene in..
íenfible. Mais la Lunc , Mercure
&
Venus
font
p
:ualb.xe. PARALLE.LE. adj. Terme de Geomerrie.
il
fe dit
des lignes également éloignées entre elles ,
&
qui
;~r~Ít ~o~~~~~te~njj~~~t' a~l~nte~Íu~c:r~:~~~o;
des cerclcs. Les cOtés oppoíés d'un quarré
font
pa–
ralleles entre eux. Ce mot eíl: Grec
"JRl,,;..u
11,,.,
JEga ...
lcmenr difians. On appclle fimplemcnt
P11r11lít!t du
Solt1l
les cercles parallelcs qu'il décrit d'Orienr
3.
~~;~~d~:c p~~~ie;~~~íl~.;~fsqC:ªnc ~IB
1
r~·~
J:;
1~~
gnes fpira\es que de vrais cercles ,
:l
cauíe du
mouvemcnt propre
&
annucl du Soleil p:tr lequel
il fait tout le jour environ un degré d'Occidenr en
Orient. Cependant comme la diffcrence n'eft pas
fon confidcrable, les rours que Ct!t Afirt: fair cha ...
que jour d'Orient en Occidenr
ÍOnt
rcgardés com...
~;~r~~ev:l~~o'~b~~se&:f:'!~~tsqcu~~t;;e~~i~gs:_~;Jxº~
demi, qui cíl la moitié du nombre des joursdel\m–
née Colaire,
d.
c.aufc que le Soleil allane de l'Equa–
eeur
:l
l'Un des Tropiqucs. recourne
d.
l'Equaceur
~:~!::S m~mcs
parallclcs qu'il avoir ir:cés aupara-
Ces cercles ayantété fairs parallcles
a
l'Equa[Ctlr,
parce qu'fü íom décrici par le mouvcment diur-