PAR
;~~~le
3
Íc;~é~~::i~~cp:~~s
3
;;p~:d~~~~~ ;;;¡~eb~=
manche.
PARASELENE f.
f.
Terme de Phyfique. Maniere
de meteore qu'on
vo1t
aucour de la Lune. C'cft
un ccrde lummcux qui l'cnvironne,
&
plus fou–
vcnc la traverfe, oU l'on découvre une ou dcux
lmages apparcntes de
la
Lune. qut fe fonc de mC–
me que le parelie amour duSolc1l. Voycz PARE–
LIE. Ce mot vient du Grec
,,.,.,s,
Aup1Cs,
aurour,
&
de ,.,.,.·,,. , Lune.
PAe~~~~cL~~~ Í~r~~i~e~~~:~n~~:~~~~º{¡~~~
&
fu~
une b:igucne tournce. Cela forme une cfpece de
pcti
t pavillon que l'on plie,
&
qu'on
éccnd
Cur
fa
tCce
qu.mdon veuc fe défcndrc du Soletl. Lorf–
qu'on s'cn fen pour fe garanar de
la
piuye, on le
nommc
ParttplHp.
PARASTRE.
(.
m. l\fot qui fe trouve dans quel-
%c~xc~:~u1;t~~u~~~: ~~f~:~rq~~ r~f~~~~~ca'~;
d'un prcnucr lit.
(.e mot en de peu d'ufagc'
&
a
Cté faic
:i
l'imiurion de -:elui de Mad.trc.
PARASYNANCHIE. f.
f.
Tenme de Medécine.
Ef-
~~~y~~~(~~~~~~~en~~~~~~~~~~~¿~;;~;:;:~;4:
de
.,...,~
,, , ,
&
~~, Je
íulfoque.
PARATIT LES. f. m.
P·
Terme de Jurifprudence.
Explicarion Cuccinék des mres du D1gd1e
&
du
Code, pour fa1re
vo1r
qucllc en
cíl:
la lia1fon,
&
Ja
m:uiere qui eft crauéc fous chaquc nrrc. On appcl–
lc
Para111/aire,
r:rnr
le Doéh:ur
qui
cníe1gne les
P~ramles , que celu1qui les apprend fous un Doc–
tcur.
PARBOU!LUR.v. n. On fe ferr de cerno< enMc–
dccinc , en parlanc des hcrbes quºon fa1t bouil-
!:ie~u(~¿.º1~ f~~~~~d~;li~:u~~e~ut~l'v~~e
;::=
dre ép:ufli:s.
P.ARC.
(,
m.
GrAntlt
l'rmJru Je terrt entourlt de
mHrad/e;
>
01)
In
Prmcu, /u grandJ St1gnt1trJ funt
conflrutr des bites
fAll"VtJ
p•ur
le
diver11ffemtntáe
111 chaffe.
A
e
A
n.
F
1\.
PArc
(e
dit
auíli des gr:mds
fiturages fermés de fot1Cs , oU les ba:ufs fone
mis
:a.
l'engr:iis.
re
~r:iª!f¡~
1
t~eq~:~ Í:~fi:'~~~:'~~n ~~:~e~,~~s~~e[;
ponéc du c:inon d'unc place qu'on :iíliegc. Ce lieu
oll
l'on mee les poudrcs
&
les feux d'aru6ce , n'eíl:
jamais gardé que par des piquiers , pour Ccrc
a
cou–
vert des malheurs du feu.
11
y
a une auere place
marquéc d:ins un camp, appelltc le
P11rc
áu 11111ru.
Elle
c:fl
:i
la qucue de chJquc Regimem ,
&
ce
íonc
les Vivand1ers
&
les March:rnds qui l'occupcnt,pour
y
éralcr
les
chofts done les fold3tS ont bcfoin.
P1trc,
fe die auíli dans nn Arfenal de Marine, du
lieu oU les Magalins gencr3ux
&
parriculicrs fom
renfermés ,
&
oU l'on conflruit les VaifIC:aux
du
Roi.
en
~:ieJ!~:~n::;:c~:~s~~u~ª~~~~:. 'e%~
1
:~1t1~
enferme les befliaux que les Oflíciers fonc cmbar–
querpour leursprovilions.
On donnc cncore le nom de
Pare,
:l
des
PCche~
rics confuuircs íur les greves de lamer,&' il y 3des
:~~:sr:&~~!é;J;~~;d~n~~~~:r:~
'ia
~~;¡~~.
maillcs ·
Parc,cll:iuffi110ample 61ee qu'on tend for
le
bord
de lamer. Ce filet n'a qu'une ouvcnure
du
cOcé
de:
~:r~eo,it~
1
fr~~~~~r;o!~:~4~f~an:~:r~d~~~:sc:~é(~
pcurfauvcr.
PAR
P.irc.
Tcrmede chatre. Enceincederoiles oU.l·on
coun les bCres noires qu'oo y a enfennées.
PARCHASSER. v. n. Tenme de chaffe. Fmirl>chaf·
fe par
la
priíe de
la
bCce que J'on a charfée.
PARCLOSES. f.
f.
Teunede Morine. Plonchcsqu'on
mec 2 fond de cale íur de cerumes pieccs de bois
~~·~°&ª~1f
::Jfc
~~~ñ"c:~~-r~1~:!J~~~l~~a~:~:::~;
;,~!~~;;~7~·::~~~~:~~~oms
des cauxquidoivcnc
On
a
die
otA
lap11rclofi,dans
levieux
langa.gepour
dire,A la
fin.
PARC,ONJER.
(.
m. Vieux moc. On diíoir aucrefois
P.rrf01t1tr d'Nnmt11rtre,
pour dire , Comphce d'un
PA~~~~~S.c~u~:u~e:~
1
r/car~abis.
Lemes qu'on
obtiene en la grande Chanccllerie , par lcíqncllcs le
Roí ordonne au premicr Sersem ou Hmffier d'exe–
Cu[er
un
Jugemcnc en un licu qui n'eílpolht dans–
le rclforc de la Juníd1lbon 01\
11
a écC icndu, fans
d~::ie
0
u
0
x,e;o:rb~:!i;:~~~;~~
1
~~a~ceeq~!c~:r~~~;:
ou une permiffion de: faire cxecuccrdans fon rc!10rt
une Semence qui aura écé rendue
p
,r un aurre
Juge. Ce mot de
P1JrtAt11
cft
Laün,.
&
veue dtre,.
Obt'lf!=.
P AREAUX.
f.
m. p. Sorre de grande• barqucs des
lndes , qui ont. le devane
&
le
demere foics de
la.
méme fa.fon.
On mct
ind1ffcremmcnt
le
gouver–
nail
dans l'un
&
dans l'.tucrc, quand on vent
chan–
ger de bord.
PAR EL
1E.
(.
m.
Quelqucs-uns écriV'cm
Parhllu.
T
erme de Phylique. Apparencc d'unou de phúicurs
Soleils aucour
du
verit:ible.
~elquefois
les Paré–
lies fonc d:ins la circonfcrence
desgrand(J
CoHron-
1f(J
,
Voycz COURONNE.
~clqucf.;,is
ils font
;:;;;~~n~~j~~ ~n~u~'fe~~~(~~sc ~~~f¡f~~~ri).~r~~
nfon. l'ob(ervacion la plus remarquablc que l'on
ait faite fur ce foJer
ell
celle des cinq Soleils qui pa
4
rurent
~
Rome l'an
1619.
le
10.
1'.lars aprCs m1di.
Ya~~(~'~~r~!~f~1~~;;~~~ctl~~ ::;r~;~~1¡!{1s~Jo~rccJ:~
~u~::~~~;=~~~
,:1:;éasi
da~!~~~érssib:~;;:e;}~;;
deux aucres plus éloignés , mais éloignés encore
égale
ment duvrai Soleil, éroicm rouc blancs,
&
rnoins
éclata.ns.11
n'eft pas difficilc dc jugc:r par l'é–
galité
des d1íl::inces des faux Soleils au vra1. pris
deux
:i
deux, qu'ils étoicm
form~s
par des rcRc–
xions ou des refrnélions done les anglcs éroienc
!~~~xpiu~npr:~::c~uJ;:r~r~~r:·11~aérc~i:n~
0
f~:~~ ~~:
~~1sffief~~~;~·~o
1
~: ~~u~:~~c~·fc~ie~~;~~net:~~~
rés,
¿~oicm-ils moi~s
vifs. parc
e c¡ue la reRcxion
alfo1bhe plus la lum1erc que ne
f.utJa
refrntlion ..
Apparemmcnc Je cercle blanc anquel rous les cinq
Soleils paroiíli:uenc anachés, s'C<ait formé autour
de quelque nnc ronde
&
tranfparcme. domun vent
chaud avoic fondu la circonfc1ence qu'un vem froid
avoic íubitcmem rc:geléc
1
&
convcrcie en gla'ce. les
rcRexions
&
les rcfraélions qui aurom cauíé les
quacre fuux Solcils íur les bords de ce ccrcle de gla–
ce ne
fom
pas d1fficiles
:i.
rrouver,
&
on pcuc enco–
re im:igincr dans les nues, d'aucres figures de gla–
ce, propres au mCme effcr. Les couleurs
des
Paré–
Jies s'cxpliqucnc commecdles de l'Irisou des Cou–
ronnes. Voyc:z ces mocs. Le mocde Parélie eftCree.
...,.:.:, proche ,
&
->.w,
Solc:il.
PARELLE.
f.
f.
Planee qui croír de íoi-mCme
d3Jt.s
Jcs Jardins,
&
d:ms Jes·champs culuvés, ayam fe¡