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PAR

ne de

2+

heurcs qui fe fait fur le polc de l'E •

qu:ucur,

(

Voyez POLE,)

&

par,conf..:qucnt

qu:tlll~

l'Hon(on paílC par

les

l~oles

de rEqu:ueur, ce qm

arrivc d:ms laSpheredroue, ( Voyez H0Rl50N

&

;!)r~;~~~i~íi.I ~~1fac ~i~~:c~l~;r~!~c~~sursré(~~é/~~C:~

¡ours égaux d:rns

la

Sphcce droite. Dans la 5phe–

re obliquc , l'Horifon ne paífant plus par les pa–

les de \'Equ:ueur; il ne coupe plus les paralkh::s

par l

a m

oitié , de Id. viene

l'inégalic~

des Jours. En–

lin d

:i.ns

la Sphcrc: p;tratlelc,oU l'Honfon

&

~·Equ¡t­

ceur

ne

fom plus qu'un

mCmc

c:crcle

~

1'.hon!on ne

pem plus couper aucun p:ira\lek ,

nl3.!S

il

y

a.une

momé de tous les paralldes au

d~ílus

de

lu1 ,

&

J'aucrc

moaié

::m dcífous. De

Ji v1ennent

les fix

mois de ¡our

&

Cix:

mois de nuic fous les Pales:

PARALLELEPIPEDE.

f.

m. Terme de Geomeme.

CorpsColídc cerminépar lix parallclogrammcs,done

les

oppoíés

fom p:ualldes

égaux ,

&

Ícmb~a~les.

~~!~:!':~~fsi~fs~~ese~ur

1

fu~~

1

rr!~~n~~e~ru~r1fa

1

~~~=

gt:ur

&

fa

profondcur ou hauceur ,

&

elles Conr

pníes routcs trois

for

les trois cOtés

~iffc:re_ns

du

p~ralldcpipt:de

!

s'ils fom :iangles dro1cs.

$1

cc:s tco1s

Iigncs

fonr

égalcs le parallelcpipede eíl: un cube.

l es

parallc:pipedes íemblables ,

c'eíl:~i-d1re,

cc:ls

¿:~11:ol~n~~~~~~~\~~ni~~~!~; :o~~l~rJ.:~;cl~~utf~

hauccur ,

&

qui de plus Íonc équiangles, Conc en

raifon rriplées de leurs cOrés homologues.

PARALLELOGRAMME.

f.

m. Terme de Geome-

Ío~c· ~~rº:ifc~~~dQ;!~~ail~~ d:~~1!~¡~[~a~!O~t~~

Kr~~~~~~~~~i~; ;~r~~¡~f~~:a:1~~a:gtp~:J;¡~

par

b.

multiplicarion des deux ligncs qui fom

fa

Jonoucur

&

fa

largcur,

&

ce íonc les dcux cOtés

du Pa.rallelogummc s'ils fom

3.

anglcs droirs

¡

mJis

s'ils font obliqucs l'un

i

l'aucrc , on incfore le p.1-

rallelogramme paruneperpendículaire cirée íur l'un

de fes cOcés,& par ce cOré

li

les dtux c6cés d'un pa–

nlle!ogr:unme reébngle fonr égaux ,c'dl: un qu1.r–

ré. Les parallclogrammcs équi1nglcs

&

ícmblables

~;ri:~r r~~on~~e:b.I::~::;;;.:!:~: ~~:;~~u~s~

w"t:i

,

Procbe, de

á.>.A;>.M ,

l'un l'amre ,

&

de

'Yf.f'"'

Ecrire.

PARALYSIE.

f.

f,Terme de Medecine.Moladie cau-

~:e ~l~~l~~:u~~íoJ~ti~~ ~:r~~:f:, fJa~isr~:~~~ee

1

~~r¿c~

On appeUe

ParafJfte parfaire

,

Celle qui Oce le

mouvcmenc

&

le fenciment tour

:i

la

fojs;

&

P.l–

raf;Jie

impffrfairc

,

Celle qui

laiífc ou le fcnri–

menr ou le mouvemcnt. La ParalyÍte fuir le vice

de:> ncrfs, qu:mcl ils íont coupé.! dans les playe.,<¡ Olt

torts ,

&

comprimés dans les luxaáons

&.

dans les

chúces,

:i

c:rnfe qu'éram aínÍt vitiés, ils ne por–

tent plus le ícmiment

&

le mouvemem anx par–

rics. La rrop grande humeé.l:.ition

&

le

rrop grand

rcfroidiílCmenc, d'oU s'eníuir la rebxacion des

fi..

~~ª~~~o(~~;~~s),x:;1~~~ee%sªJll~~·';n~ª;~

1

!~~~

ne écoit demcurée paralyriquc pour avoir {:lrdé

trop long-tcms dans un b:!Índ'ean froide. Les vieiJ–

J~rds

&

les cnfans fonr comme

:l.

demi p

:m.ly.ri-

{;ce~~~;~s;;~~r~e~n;i~~(ec1;u¡~lspl~0:Ct ~F~~~é~fi·~~

fereuíes qui rc\3chcnc les fibres

&

les cendons

¡

&

les amrcs, ,P:i.rce que lcurs

6br~~

&

lcurs tcndons

ét:lnt arroícs :m contraire de quamiré de fue nour–

ricier, ÍOnt 15.ches

&

A:i.íques,

&

par coníc:qucnc

trop foiblcs pour faire agir les membres. HorílÍ,us

PAR

In

obfcrve , que qu:md on a éré long tt!ms

á

la

pluye •

&

qu'on

l"i(JC

cníunc fccher Ícs habi1s

Cur

Jon

c~rps.

on conrraéte des paralyfics

a

quclques

memores. La

caufe

de

la paralyfic eíl:

Je

plus

fou-

~ea~ce~~t~~~~-a~~~ev:~?éc o~ ~~:~tb~:ad!~ ~~ll~:

qui ér:mr ch:méc

:i

quelque membre, en auore les

pamcs nerveu(es,

d.

quoi l'acidc

efl:

excrémcment

conrra1re. Elle corrompe fucccffivement leur rcílOrc·

~~n~;~~v~r~~~~s': rc~r:!~:mb~~;~~~c;a~:1;ri=~~:

v1e11lards ell: prcíque incurrable. Celle qu1 viene

par une force

&

fubire luxauon des membrcs du

dos,

&

fur com du col , eíl: d'ordinairc monelle.

Plus

la

chaleur du membre cíl: éremrc. moins

il

y

a

d'efperancc. Qmnd

il

furvicnt quelquc tremble–

menr

i

la panie , c'eft un

fon

bon lignc. Le mor

de

P

ar11'Jfte

cll: Grec ,

::z.

1b.nn

,

du verbc

u¡.>..Gu, ,

Délier, d1tfoudrc.

PA~AMETRE.

f.

m. Terme de Geomecric, qui fe

du d'une parabole, d'une cllipfe

&

d"une hyperbo–

le. On a cherché daos ces rrois ligncs courbes une

égaliré entre les Abfc1ff'es

&

les Ordonnées. Voyez

AB5US5ES

&

ORDONN6'ES ,

&

l"on o irou–

vé ccue égalicé entre les quarré:s des Ordonnées

&

les Reél:angles des Ab(c1ffcs corrcfpondan–

tes par une ligne qui

c{l:

rof1jours la mCmc •

&

que

l'on a nommée·Parametre, de

:i•,•f'•7'i",

Mt'f11rer

li

d~~::ªI':o:lu~~;~ ~~~ª n;~~~~:rcri)f~n·81~~~~

ou de l'Hypcrbole. Ccuc égafüé des quarrés des

Ordonnécs

&

des reébngles des Abfciffes corref-

f.,º~~~~C:1~ª~~~~z3r;;~~~Q~~~~~~j

i~~n

~~~ed~~~

ramerre d'unc maniere

quiconv~cnne

a.ux

rrois Sec–

tions Coniqucs , c'eft le qnaméme

rerm

e d'une

proporrion dom les trois prcmicrs font le rcébn–

gl~

de l'Abfc1ílC qui fe cermine

i

une eurémiré du

~:;r~

1

c~~~m~ra~s:ki~ª~ ';!r~ru!i \i.~:~rcq~~;Zm~t?~i~

mCmc: Diamerre, le quarré de l'Ordonnée corrcf–

pondame ,

&

le Diamerre uansverfal.

Comme lesSeélious Coniques om differc:ns Día ..

merrcs,

&

que ces Diamecres onr leurs Ordonnées

qui fonc par confequenc des Abfcilfcs . il faur pour

en foirc

la

comparaifon que

ce~

Diamcrres ay.cnr

chacun lcur Paramcu-e .fixe

&

invariable. On ap–

pc:lle

Figurr d'mt

Dittmetrc

le Reél'3.ngle de: ce

Diamecre par fon P3rametre.

PARANGON.

í.

m. Vieux moc. Modele, Pntron.

;:~

!~;a~~~n~

i~

1

rr~ ~;e~~ctJ~~x~~l~~~~~

1

,u~q~:~~

une

manie.re

d'adjeébfqui ne change poimde gen..

re.

V11 DiAm

anr pttr1111g()1/, Hncpcrlt

pttrtmgo11~

qp:·;;::g:;~;[~~t~edfam~~~~: ~u a~cr.r~g~;~~ ~~il:~

les Ancíens appelloiem

Bajfa.llu

,

felon Pline,

&

encore

Qafanus

,

du Grec

~<Jll(•~''•,

Examincr avec

foin ,

:l.

caufe qu'on

~prouve

l'or

&

l'argenr en les

~r::rª~: ~~:¡~:e;{l;:::~tI~ylec~o~r~~¡~~~~~~~

M. Felibien panche

3.

croire que ce font celles qu'on

appcl)oit

L11piJJpiitu,,

&

J.,oph

"'1/iái11'1m.

Les An–

c1ens en om fuir des llames, des fphinx ,

&

d'a,utres

animaux. Ces forres de :piel!res fonc

rrC~-dures

:l

railler, m:iis quand elles onc

écb

mifcs en c:ru.vre,

elles prennenc un rrCs,beau lufire.

Par1t110011.

Les

Imprime~m:

:ippcllenrainfi lesca–

raél:eres de la

íecond~roíl~ur.

11 y a le gros Pa...

rangon, qui eíl: u.n c:irad:erc onrre le

~ros

Canon ,

&

le·pcác Parangon. Ce der!'ler ell cmre le gro1

Par~¡;¡goo., ~

,le gro5 B.oma.i,n.

y

i1j