( po).
·div~dendé
!
Nous son:i_mes
libres .,
parce qu'un_
établissem-ent
do·n!
1~ _p~re-mi<:r -~~voir ~eroi~d'influe:r
~- Sl~r
.les chab.ges ,
rÍ'
~n
1
a ..
pas
f.ill
q~t
,·
rin~el!ig~R~~e· ,
ou
1~
_cóur¿{ge
...
!_:-Eh
!
~1 ·
le
[Je;_
_potÍSple'
eút_eré
vaÍnqueur ,,
lq
caÍsse
d'e~~.orp.pt7
Jie se
prost érneroit -
elle
pas
a
ses
pied3
av,ec '
' les
memes·
ti
tres
qu'on ose
nous
étíi!.ler
áujo{ir-:
<l'htii
?
M:
l'archeveque
de
S~ns,
les
minrsJ:ré¿~
qui ont avant lui ,
pui~é .
tla-ns
la
cai~se
d'
es":'"..
COI1'.1pt~·
;
étáient-ik les amis..
de la liberté
?. -
Oü
~roüvo~ént-il5
done · des
secours
d'arget?,t ,
sans
lesquels
on ne
fait
P?int
de
conspiratipn ,
ceux
-q11i' ,
disposant
·des
tro{ipes ,
se
s91Ú .
si
long~
tems
etto~rcés
d'intimider
la volo.nté -
_,
JBtionale
?
Le
pet~ple
de Paa.·is ,
qui
a déployé
tant de
courál"ge ,,
étÓit-i~
soudoyé p>a_r la -
c~isse~
-
· d'escompte
?
En supposant
que
cett~
banque.
, -étoit · l'un¡que
source
0·1{
pouvoit
puiser
le
p'
Úésor
r~yal,
n'étoit - ce
-pas
le plus souvent
. '1pour soútenir
la
cause'
0
du despotisme aristo–
áatiqüe .
et
ministérid
?
_-A
quoi
a-t-il tenu· ·
- ' que· le porte-fetiille de la caisse d'escompte
, 11e
füt
enseveli .sous
1
1e$
ruines
de
la
Bastille
?
Contre qui cette
banqu~J-vouloit-elle
se
met·
. t:re' en süreté ' quand-elle
a
demandé
au baron
d-e Breteuil"
UD
.o~dre
pcur
que
¡es fon,-d _pus-
'
1
·'
,/
,'