Previous Page  506 / 532 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 506 / 532 Next Page
Page Background

(

498)

C;C}tt.tion. Le public n'a pas. besoin d'admiAistra•

teurs

actionnaires; .

mais

de

surveillCI!lS~ pou~

~Ofl

propre

intéret

~'·

~

.

" Ce

systeme d'administration est

loin

de–

c_elui de la

banque

de

Lo~cl.res.

Deux

gouver–

neur's

a

vie

sont dépo$itaires de son invidltt-–

ble

se-cret. Voyez,

Messieurs , ce

qu'e:x:igent_

les

banques que

l'on

ve11t

lier

tout-a-la-fois~ ·

aux

affaires

d~

la

pofüique

et

a

celles

·dH

corn- ·

merce~ .

Ce

secret

si

critique,_

et

cep@ndf}nt

gt

néces.saire

a

toute

banqu~

nationale ·

et

-CGm- · '

. m-erc~ale,

l'admettriez..,vous

>•

?

,. Eh

bi~n

! ·

nous dira-t-on, laisserez - vous-

1,

done périr

la

caisse

d'esc~mpté,

inalgrJ' s-0.n,–

intime

éonnexite

avec les finances et les- ajfaires

publiques,

malgré

le souvenir

des sentices

·qu'on

·

~n

.a tirJs

»

?

>•

Certes ,

cette ironie est

trQp

longue et

tro.p

dépfacée. Ah

!

cessez

de parler ·

de

s.es

services

!

C'

est par

eux

que' notre foi publi--

,

1

1'

' \

qüe. a ete vio ee ; e est

par

1

.eux

E_[Ue notre ·

.crédit ,

perdu

au.,. dehors , nous

laisse en·

proie

-a

toutes. les

attaques

~

ou

de la con–

curren-ce

étrangere '

ou

de

cette -

inclustrie

.plus ·

fata.le

qui

méc~mnoit

tout

esprit pt,1blic ;

c?-est -

par

Cfi-G

prétetldl.li

5efV~4S.

.que

tout.es

r

1

-