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C;C}tt.tion. Le public n'a pas. besoin d'admiAistra•
teurs
actionnaires; .
mais
de
surveillCI!lS~ pou~
~Ofl
propre
intéret
~'·
~
.
" Ce
systeme d'administration est
loin
de–
c_elui de la
banque
de
Lo~cl.res.
Deux
gouver–
neur's
a
vie
sont dépo$itaires de son invidltt-–
ble
se-cret. Voyez,
Messieurs , ce
qu'e:x:igent_
les
banques que
l'on
ve11t
lier
tout-a-la-fois~ ·
aux
affaires
d~
la
pofüique
et
a
celles
·dH
corn- ·
merce~ .
Ce
secret
si
critique,_
et
cep@ndf}nt
gt
néces.saire
a
toute
banqu~
nationale ·
et
-CGm- · '
. m-erc~ale,
l'admettriez..,vous
>•
?
,. Eh
bi~n
! ·
nous dira-t-on, laisserez - vous-
1,
done périr
la
caisse
d'esc~mpté,
inalgrJ' s-0.n,–
intime
éonnexite
avec les finances et les- ajfaires
publiques,
malgré
le souvenir
des sentices
·qu'on
·
~n
.a tirJs
»
?
>•
Certes ,
cette ironie est
trQp
longue et
tro.p
dépfacée. Ah
!
cessez
de parler ·
de
s.esservices
!
C'
est par
eux
que' notre foi publi--
,
1
•
1'
' \
qüe. a ete vio ee ; e est
par
1
.eux
E_[Ue notre ·
.crédit ,
perdu
au.,. dehors , nous
laisse en·
proie
-a
toutes. les
attaques
~
ou
de la con–
curren-ce
étrangere '
ou
de
cette -
inclustrie
.plus ·
fata.lequi
méc~mnoit
tout
esprit pt,1blic ;
c?-est -
par
Cfi-G
prétetldl.li5efV~4S.
.que
tout.esr
1
-