( 49) )
de
n4goeier
-le's
rescriptions
qui
-
lui seroient déli–
vrées p ar
le gouvernement
;
et le préjudice
q~ti
'
pourroit
resulter
pour
elle de
ces opérations
mc–
mentanées,
devroit lui étre
bonni.fié
·par
le
trésor
-public.
(
Page 3o)
».
~>
·C'.est'
18.
un.e
lo
urde
méprise :
une telle
disposition place
au
sein
de
la banque na–
tionale ,
tlll
l'evain ·continuel d'a.giotage , et
µieme
u'n
principe
de
dilapidation ; , et il
faut
ericote ajouter
a
cette
grav@
erreur
l'~ngage
ment
.qu'on
feroit prendre
a
la
nation '
d'~ s-
,surer
a:
jamai
1
s
aux
actionnaire-5
n~uf
millions
I
'
· de
rev~nus
annuels pot1r · Pintéret
de
lel:IrS
actions
>>.
'-
>)
Dira -
t-
on que
la
ba_nqu~
nationale ne
·venclra
ces rescriptions
que
dans le cas oü
elle
voudra
diminuer
la maS>se . d€
s~s
billets
de circulat ion? Mais , quoi
!
l@rsque
.la
han-,
que ·na tionale
aura
rompu , ou pour le gou-
, ·
vernement ,
ou
pour le c.cmmerce , ou pour
l'agiotage, l'équilibre
qu\~lle
doit ,
maintenir,
il
faudra
que_ce
soit aux frais de. la nation
qu'il se
rétablisse
>>
!
·~~ L~s
anticipations ont
fá,it
de tout tems
le · malheur et la
ruine de
notre royamne.
Consen.tiron s ... üous
a
les perpétuer , _pour
assurer
a
la . banqué nationale . des profus ;
' ''
• 1
'1