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( 501 )
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y;
etr~
dépo.sés
?
Elle cÓmptoit bien plüs
al~rs ·
sür la forteresse du -despotisrrte ·, que.
S:llt_
la valeur· des' 'citoyens.
Le~
c;aisses d'es–
~
omp.te.sont"~u-set:v:-lte- de- ceux
qni les
payrnt :·
V.Olla
la.
vérjté;
eÚ:' est
ma nquer
a
cet té assem–
blée _, ,que.
d~e
lui ·parler de ·reconnoissance pour
des services qui sont aux orJres
de ·
tout
le
~lon,de ~>.
_, »..
So~geons
, Messieurs , aux pro"o/inces ;
la
capitale, les ·créanciers de
l'Etat
- ~ff
ont
:qesqin ;
comme.
·a. '
leur toür '
les
provi nc es
ont besoin et de
la
cap.hale et
d~s
/
créanders
;de
l'Etat. Une caisse nationale , telle qu'elle
a
été,
proposée, réunira tous
les
intérets. Une
(ois ré5olue , vingt-quafre heures ne s'écou–
le'ront ..pas sans qu'elle nous donne un '
pla'n
1
sagE;'
adapté
a
la \nature des choses' exempt
<le
facheuses
consé.quences ,
et
tout
au
moms propre
.a
ramen~r
promptement
le
crédit
>~,
>•
La
caisse d'escompte est créanciere de
l'Etat ; nous payérons sa créance comme tou–
tes·, les
autre~.
Si elle ·ne se
mele
pas de nos
arrangemens, ils ,n'en seront que
plus
solides;
ils amélior eront son sort bien mieux. que ne
le
·feroit son inutile
métamorpho~e
,
tandis
Ii
4
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.....