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. [

~(i)3

J

1-éition..· N>est•

ce · done rien

pour

ttne

cotn~a...;

· gnie de ti.nance,

que

trois

millions.

de

rent~ ~

.Faut-il abandonner pottr

elle

de plus ·grandes

vues

(

Le bien de

l'Etat.

exige-t-il qu'.on Iui

'

donn~ ~es

affaires

a

proportion d'un

nombr·~

quelconqu

1

e d'actions, ou q11'on ·

l'obl~ge

a

proportionner ses

ctions

a

ses affaires

?

Qu'elle . renonc€ .

a

cette

volonté impérieqse,

' fle

vouioir tout forcer ; qu'elle se

soumette

'

1

aux ·

círconstances.

C'est

a

ce~1x

dont elle

a'-

favorisé

les

entreprises '

a

cpntribúer

majn-;

tenant , par leurs secours ·'

a

la remea're at;

rang des banques

~ccréditées

)).

»

Je

m'arrete ,

Messi'eurs ; j'en

ai

dit

assez

sur

cet intarissahle suj

et ,

puisque j'ai

prouvé

i~vinciblement

que

la caisse d'escompte,

tra.ns

formée en ba.t).qüe nationale ,

n~

peut .nous

prete'r

·que notre propre

c·rédit

'H ..

" Qu.-e

par

conséquent ,

elle nous

~st

inutile

>,.

~,

Que

les

motifs

qui nous

détermiríeroient

a

cett~

institution ne

sauroient

la

justifier

>,..

• ,, Qu'aucune des disposions

qü'o~1

nous .pro–

pos~

ne

rétablit,,

meme

a une

époqtt·e

éloi,–

griée 'le paiement itnmédiat

des

billets

a

bur~au

ouvert "·

'. l

1

\

,

I

1

.

)