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l
( 3
I2
)
prut-etre
pas senti
que
le principe, qui met
_tmites les propriétés sous la sau:ve-garde de
la
foi ,
pt1bl~que'
doit
s"étendre
a
tout
ce
dont
un
citoyen
a
1~
droit de joHir , et
que sous
e~ '
r:app'ort, la possession est aussi
un
droit,
et la
jouissance
yne
propriété sociale '"·
,~
·Enfin ,
d'autres
ont discuté
la
~neme
·questiori , en distinguant différentes classes
de ·bieris .
etdéii~~t.iqt1es
; ·l
ils ont
taché
de
·inontrer
qu'il
n"est
altcune espece
de
ces
'hi'éns,
a
'laquelle le· nom dé
propriété
puisse
.
conveü~r.
Mais ils n'·ont ·peut-etre ,
pas
assez
exarn.irié si
· 1~s ·
foi1datiéms
ne devoient
.pas
cohtinuer
d'·exister ,
par
·cela
seul
que
ce
.. ' sont
:des , fondations ' et ' qu'en suivant les.
. regles
1
de .
n~s
1
loh>
civiles'
leurs auteurs
ont
pu E}>remetlt disposer•'
~de
leur
fortune ,
et
faire
des
loi,x
dans
!"avenir~~.
-
1.
· ,-;-, c
;e.st,
Messieurs
(SOt1"\
ce dernier rap–
port _
que
j·e.
tra-iterai
la
rtl'eme question.
OA
.
: ~01+s
a''
déjá
cité
su.r
cette-
matiere
~
l'opiriion
~ d,~'~n
des'
phi~
gtands
hommes
d'état qu'aient
prodüif
ces
Úms.
rn,~odern~~·.
.
Je
n~
pms
m
l'apptbuver '
entier~ment
,
N~
la combattre·_ ;
tila.isjé
crois devoir
c.om~,encer
.par la ·rap–
peler ·
,.,~
,.,,_If
·n''lr
a attc1m.
_dout€ ;
disoit-.il, sur )e
o(