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MM. le Brun et Mirabeau te jeune ,. so.rrt
les
premiers entendus.
Tous deux concluenit
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Lorsqu'une gi:-ande
natíon
est assem lée'. ,
et
·qu'elle
examine
une
question .
qtii
intéresse
.
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une grande partie ·de
~ses
memhres, une classe
entiere de·
la·
~ociété,
et une dasse infiniment
respeétable ; lo·rsqut;
cette
question paroit
tenir tout-a-la-fois
~ux
regles inviolables .d'e
la propriété ,.
~u
cúlte
public ,-
a
l'ordre ··poli- ,
tique , et aux premiers fondemens de .
l'drdre
· social, il
ii¡npor~e
.de
l~
traiter ave-e une
reli- .
gieuse
len~ur,.
de ·
la
discuter
avec
une
scru-
.puleuse
'sages_se ,.
d~
la con$idérer 'sur - tont·,
pour ·s'
exe-mpt~r m~me-
du
sou'p~on
d'erreur,.
sous ses rapports' les· plus éÚndus."·
,
'' La question de .
la-
.p-ropriété des hiens . du
clerg~
esit
certainement
de'
.ce
nomb're.
Une
foule ·de ·
membres l'ont
déja
discutée
avec .
u'ne solemnité digne de son
importance.
Jé
ne ci:o'js pas cépendant
qu'elle
soi~
encór;e-
épuisée
>,..
( ..
- '' Lé.s
uns .
ne.,
ront
considér.ée;
que .
relati~
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