~
~; J~ai
süpposé jusqu'ici un ordre ele
choses
:vers lequel nous marchons
a
grands pas '
je
.veux dire une monarchie
orga~isée
et eonsti...
tuée ,; mais comme nous ne sommes point en-i
ce.rearriv~s
ª'
.cet ordre
de
choses , je doiis
m'explique:r hautement.
Je
p~ns€
que le .droit
de
~uspend~~'
et meme d;arreter l'action du
corps législatif; - doit appartenir áu
roi
quand
. · la'
constitution ..s.era faite, et qu'il s'agira seu–
lementJ' de la maintenit.
Mais ce
droit d'ai::–
.reter, ce
·veto
n<2 sauroit s'exercer quand.
il
s'agit de créer la constitutlon :
je
ne
con~oi~
· -
pas 'comment ,on póurrn-it dispute_r
~
"t:tn ·pet>t•
ple .. le droit de se donner
a
lui-rn~me
la cons..t
titi1tion
par
laquelle il lui
p-lait
c}.'etre gou-:
verné
désormais.
>->
«
Cherchons done nniquement
si
dai_ts ia
cons.d
. •' ;. titution
a
c:réer' la
san~tion
"royale
doi~ e~trer
comme pa'rtie intégrante de la législature.
>• ,
1'
'( Certainement
a
qui ne
saisit que
les
surfa-1
ces , de ,, grandes
objectio~s
s'ofífrent contre
l'iaée d'un
yeto
exercé
par un individu
.quel~
conq~e'
contre
le vroú
des représentans
du
peuple . Lorsqu'on suppose . ·que
l'assembfé~
n-ationa~
' composée
d.e ses
vrais élémens ;
présente
au
prinae
le
fruit .
de
ses
délibéra.-1
tion~
-par .
tete,
há
offre
le résl.Íltat
de
la
di"-~
1 '-