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2 · )
port
p!ns
ímmédiat avec
luí;
que chargée
du
soín
d@
maintenir
l'éq1ülibre, d'
empecher les
p.a.TtiaJités, les
préférences vers
1esqitelles. le.'
·petit
nombre ten.d
sans cesse
au préjudice du
ph~
grand,. il importe
a
ce meme
peuple
que
cette.
puisgarace
a.itconstamment
elli
main
un
mayen sur
de
se
maintenir.
)~ ~
"Ce
rnoyen
exi~te·
dans le
'droit attríbué au
chef s,upr€1n e de
la
nation"
d'examiner
les actes
t~e·
l~
puissa:nce
législaJive ,,
et
de leur
donner
cm:
de leu:r
refuser le
caractere
sacré
de
loi.
>~
~.
Appelé par
,son
institution
meme ,
a
etre
tout ~ a-la-fO:is
I?exécuteur de
la 1oi
et
le
pro-
.
¡
.
-
t ecct'eur
du peuple"
le
rrionarque· pourroit etre
f©rcé
de tourner
c<Dntr~
le peuple, la force pu–
Míqtte ,.
si
son-
interv~ntion
n'étoit
pas requise-.
pottr
completer
,le~
actes
de
la
législation,
en
le ~
dédarant
conformes
a
la
vo1©nté géné..
. rale .
>~
1
.
~~·
Cette
prérogafr~1 e
du
monarqu~
est
particu-
Eerement essentielle
dans
tout Etat
011
le pou–
voir 1égislatif ne
pouv.ant
en
aucune
m,.aniere .
efre
exercé par 'le .
peupl~
lui-meme ,_
il
est
fo,rcé
de'
le confier
lt
<les représentans. )''
1
.
'~ La
nat11re.
des choses
ne
tourmmt
pas
néces–
:;:a:irement le choix de ces
repnkentans
yers.
Ies, plus
dig11es ,,
mais_
vers
ceux
que
leur
sit~1a-
'
¡