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Non seulement cette croix
bwr
e t lurniere, sinon que, placée en
dedans du cercle, ell e rappelle la rou e de quatre rayom: qui se
présente dans quelques stell es a syriens et qui a été con idérée
comme symbole solaire.
8 62
De meme le oj ibwas. Voici deux de leurs idéogramme , comme
les décrit Ma.llery.
8 6 3
(Figure no. 53.)
Le prernier signifie un jour
ola.ir, l'autre un jour tempetueux ou
oit la tempete en général. La courbe comme ymbole ele la volite
céleste n'offre ríen de particulier ; mai plutót a position entre
deux droites paralleles dont la valeur iconomalique aura été déja
découverte par le lecteur, tant par sa di sposilion que par son nombre.
Deme ligne parall eles donnent aussi ielée de la tempete et avec
raison, puisque le feu n'y manque pa , majs avec la elifférence que
la premiere est une pointe et par conséquent
gir,
éclair, tempete; et
l'inférieurn est ondulée et indique, par suite , lumiere , la cou]euvre
lumineuse de la tempete, la foudre.
J e reprodui s une autre figure solaire de Schoolcrá ft.
8 64
(Figure no. 5±.)
En plus des rayons de la partie inféri eure et des cornes de la
tete, élément eléj a connus, l'astre du j our a une oreill e grande en
forme d'anse tres-caractérisée; rond, cercle
=mir
et
mir =
puissant,
for t
8 65 ;
oreille est en suméri en
pi
et
p il
est feu.
86 6
La lecture «feu
puissa.nbi s'impose.
Les ojibwas distribuent leurs shamanes en différen tes classes
a~ec
différents noms.
n d'eux e t celui de
'J!Vabeno'.
interprété par
eux-meme ; «homme de l'auroren, (<homme ele l'orienbi.
867
Il e t composé de
wabe + no;
le premier terme vient de
bab,
lecture du cunéiforme
gissit
<:T,
idéogramme de lumiere, soleiJ et
qui répété se lit
babbar
~r
<:--T
brillant, blanc, lever solaire, soleil
868 ;
pone aquella lectm·a al ideograma. Hommel le da
á
la oreja el apelati,·o de
ff1.S
(Sumerische,
no. 288) ; en este caso se confunde con cielo. Ademas in flamar se
dice en súmero
bi
(Ledrain, p. 330) y por
b
=
p ,
equivale
ú
pi
en América. -
Les mémes signes cunéiformes autorisent le rapprochemcni:
.(-T
est idéogramme
de soleil (Ledrain, p. 400), et
~T~
signifie oreÜJe.
J e
vois chez Lenormand,
La
langue primitive,
qu'oreille se <lit aussi
pil
(pp. 445, 289) ; mais dans son
Etude
siir
quelques pcirties,
etc., il
n~
met que
1>i
(317).
Foss.eyne lit pas ainsi l'id éogramme.
1-lommel donne
a
l'oreille l'appellatif de
gis
(
mnerische,
no. 2 8); dans ce cas il
y
a confusion avec ciel. De plus enflammer se dit en sumérien
bi
(Ledrain,
p. 330) et
a
cause· de
b
=
J>,
il équivaut
i
pi
en Amérique.
ª?'
Hoffmarin (W. F.),
1'he
.llfide' wiwin,
p. 156.
••• Ledrain, pp. 38, 400. Brüimow, nos. 7758,
7761.
Hommel,
Smnerische
etc.,