215
piéce en détaü
73 3 ,
et aus i ne pui -je faire d'autro oomparai on que
celle cl'un pétroglyphe de
te. Barbo en Californie et dont j e m'occu–
perai plu
ta rd.
Pour le
apache , la rnalacli e e
t,
commé pour le Ohaldéens,
ceuvr de esprit
rnaléfiqu ,
et le pa tient ne peut r ' upér r la -anté
taut que ce
e prits n sont cha é de son corps par le
rite d
Ja
magie et des médecine , car de
Ja
provi nt son effi cacité.
73
~
Les dénés et dindj ies, tribus ele cette famille tinn a, font lériY r
l
lll"
appellatif , de meme que la famill e, du umérion,
di!,
homme.
7 35
Le P . P etitot raconte de
e
indiens qu'il
ne mangent pa
Je . ang
des animaLu:: ni Ja g rai- e de
inte tin .
736
<< Quand, dan une cha e,
ils ont tué LID
an imal grand comme un renn e il
rama.
nt son
ang da n
Je ventre
·t von t, dit l P . P ctitot
l' enterrer ou la neige,
loin de la chair.
i l'a uimal morl est pefü ou
i
i ls le ·saignent immédiatementn.
737
Le fait d'enterrer le
ano·
rn 'autori e
a.
penser qu'il · le con-
iderent comme un
adavre et probablern ent pom cela rneme le re–
j ettent-il de ]eur table, ca r ces ind iens ont horrem de la rnort.
J e
ne ,¡mi ,
a
coup ur, signa] r le moti{ des idée
de dénés; mais il
me
rnble que le fai t qu e l'idéogramme
>----4
en
umérien e t le
meme pour mor t et sang donn
un rayon de ll1mi erc.
7 38
P ar rapport
a
la g rai e int.e linale j e vois , comme dit :Fo sey,
la «préoccupation étymoloo·iqu
>l .
En effet grais e
e <lit en
lllllé–
rien
11'i
et
11i
ignifie aussi une ntraill e comme les in te tin
739 ·
cl' un
autre coté , crain te, respect
e elit au
i en
umen en
ni
qui , en
plu , signifie feu. 1-1o
De
orte gu e toucher la grais e inte tinale
c'était ne pas respecter le feu · parce qu'il
'impose Louj our
a
l' e pri t
de ces indiens l'expre
ion elu nom el'un etre pour l'etrc lui-meme.
Dans le mythe ele atabasque
le pere ele la race e
L
un oi eau
pui sant, appelé
Yél
ou
l'ale
et au
i
Orelbale, Oclelbale, Olbale.
14
¡
'"' P tito(, p. 29, no.
13.
738
Lcdra in, p p. 40, 200.
t:i i s
acepta con Hommcl (
'11111erisclie
de., no.
16)
que
..qg
sea
us,
~angrc
y
vc11cno,
el
punto es mú
dnro.
"ic'mpre lo
id co–
g ramns ele muerte
y
boca fo rman el de muerte. -
i l'on aceeple ª ''ee Hommel
(•
111nerische,
cte., no. 16) que
~
soit
118,
sa11g et poison, In que. !ion e l plus
clairo. Los idéogrmnmos de mor!. et de bo11cho forment loujours eelui de mo1·t.
'"º
Ledrain, p. 337.
Ni
correspond
ni pronombre rcfkxivo ª'il'io
rnmáun,
deri vado
ú
n vez el e enl!·airn (Dclitzsch,
.Assyrischcs
cte., p.
62!.
Menn nt , Jlfo-
1111el,
p.
190). -
11
correspond au pro11om réíléchi assyrien
ramú1111,
clérh·é-,
a
son
tour, d'enlraille.
740
Leclrain, ·p. 337. Hommcl, ,
'11111erisclie
etc., no. 155.
"
1
Brinton,
.A111eric(m hero-mytlis,
Philadelphici
.1
2,
p.
228. Pc!ilot, p. 3R