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LETTRE DUP.. D'AUBENTO
t aciones , y solía dezir , que le era vnico
remedio....,.
(Ft1-manze1~to
R ehg-z"oso,
págs.
586-87), copiando lo de su
Carta
de edifica–
ción, que escribió el P . Luis Ponce
(cjr.
Santiváñez,
VaronesI!itstres, cent.
n , núm.
87). De esta devoción práctica , tan celebrada
en nuestras historias, acó el P. Prevot la
idea del títu lo desu obra, no de ningún libro
que hubiese escrito el P. Sánchez sobre
ella, fu era de lo que después de su muerte ·
se encontró entre sus apuntamientos dados
á conocer en su vida.
56 11 .-1. L ettre Du P . "d 'Aubenton
Jesuite, Assistant du General, écrite· de
Rome le 9. Septembre 171 3. au P. Croi–
set aussi Jesuite,
a
A
vignon.- En 4.º ma–
yor, de 4 ps. (Con notas host iles á la
Compañ ía , y la advertencia final de que
esta
Carta
c: a été rendue publique par
l'impression au mois de Mars 1726 >.)
II. L ettre du R. P. Dauben ton Jésuite,
Assistant du Général au
R.
P. Croizet,
aussi Jésuite , et Recteur
a
Avignon, ou
ce Pere developpe le but que
s' ~oient
proposé ses confreres, en sollicitant la
Bulle Unigenitus, et l'usage q 'ils ptéten–
doient en faire apres l'avoir obtenu. E n
'
F rance, 1780.-En 12.º, de 9 1 ps.
«Zaccaria
( Sto1'. L etter,
rv, p. 21 0), dit
que la fa usseté de cette lettre fut demontrée
dans la "Nouvelle gazette contenant les
mensonges des Jansén istes,, et par une let–
tre de 4 pages du P . Lallemaád.... Les
M ém. de Trev.,
Aout 1726, p. 1570-73 en
parlent, mais affi rment qu'elle n'est pas
d'un Jésui te», dice Backer
(r,
1528:
cf r.
Sommerv?gel, u, 1834-35); y Barbier: <<Voy
Memoires de TrevouX> J uillet 1726, p. 135 1,
ou l'on affirme que cette lettre est suppo–
sée. Suivant les "Nouvelles ecclésiastiques,,
1749, p.92
1
elle serait d 'un abbé provenr;al
nommé M1CHAELIS . L 'abbé Gouyet possé–
dait cette édition [ la de 1780]; mais
il
cro–
yait la lettre supposée.:. (
Dictiomt. des
Ouvrages anon .,
u , u 94).- «Cette fausse
Lettre avoit deja été publi ée en 1714. Les
Jansénistes la ressusciterent en 17 26. Enfin
en 1749. ils l uí on t fait voir le jour pour la
troisieme fois, sans se ressouveni r des écrits
publics par lesquels on avo itcon fondu l'im–
posture. On peut j uger par ces traits, com–
bien la calomnie est un fo nd inépuisable
pour les Hérétiques. Ma is quel s hornmes,
que ceux qui de sens froid f¡ibriquent ainsi
dans leur cabinet des
L etl:res du Cdrdi'nal
Davia,
des
Réponses de M . Colbe1·t,
des
L ettres
du P are
D aubenton;
&
qui ensuite
inondent le public, en
~'écriant
d'un ton
hypocrite qu'il ne cherchent que la vérité
&
la charité!. ...
»,
dice tambi én con sobradara–
zón el P . Patouillet en su
D ictz'onn. des
li–
v res
f a11sén.,
11,
52 1-22 de ia ed. de 1755) .–
Basta, en efecto, leer la
Carta
para conven–
cerse de que es obra de un solemne impos–
to r.
561 2.-1. . L eyes de ·un verdadero
amor, por el P. Manuel Pedial,
[sic
J
de
la Compañia de Jesus. -
.Pl.º en 4.º , de
fines del siglo x vm.
11.
Leyes del verdadero amor, por el
V. P.M. Padial de la Compañía de Jesús.
[Al fin
J:
Santiago. Imp. de El Boletín
Eclesiastico.-Pl.º en 16.º. (Hay varias
otras ediciones.)
Como vimos en ·el núm. u 86
(cjr.
1512,
2047), es muy dudoso
qu~
estas
L eyes
sean
del P . Padial.
56 13.- Los Aldeanos Críticos, ó Car·
tas Críticas sobre lo que se verá. Dadas
á
luz por D . Roque Ant onio de Cogollor:
Quien las dedica al Príncipe de los Peri–
pateticos D . Aristóteles de Estagira: Es
obra del P.
J~sef
Francisco de Isla, de la
extinguida Compañía de Jesus. Con
Li–
cencia, por Pantaleon Aznar. Se -hallará
en las Librerías de Pasqual Lopez, de