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méprises que j'avais commises dans mon
Alplwbet Pflonétique,
ainsi que
plusieurs fautes typograpl!iques qui s'y étaieut glissées. Je neme tlatte
assurérnent pas d'avoir dit le dernier mot dans cette matiere. Au
contraire,je penseque les quechuistes de naissance, une fois au courant
de mon Alphabet, corrigel'ont les el'reUl's queje llOUI'l'ais encol'e
y
avoir
laissées. 1\Iais ce dont je suis absolument convaincu, c'est que l'adoption
de cet Alphabet est le seul moyen pour eu:x: d'écrire et de corl'espondre
en quechua, ce qui n'a pas
été
possillle jusqu'a présent,
a
cause de l'in–
suffisance de l'alphabet latin.