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APPENDIC ES
mandes A I'époque de l'r1arius :
Il cortegiano,
lib. 111, cap.
XXXIII
(ed. Flor.,
185f,
p.
198).
JI
fallt rappeler que les Italiens de la Reoaissance, tout comme
les
Grecs de l'antiquité, avaient une antipathie prononcée contre
tons les barbares. BOCC.lCE,
De clari, fIIulicrolnu,
parle dans I'article
C_en/a
de • barbarie allemande, de furie franc¡aise, d'astuce
anGllue
el
de grossiereté espa¡;nole •.
APPENDICE N· 2.
En général, voir:
De l'influence de la Renai"ance
mr
h
dJ"eloppe–
..."t de la mlUique,
par Bernard Loos, BAle,
1875,
écrit qui, ponr
l'époque dont nouoS parlons, ne rait que répéter
ti
peu pres ce qui
s~
trouve ici. - Sur Daote et ses connaissaoces musicales, et sur les
lirs de
can~ni
de Pétrarque et de Boccace, comp. TRuccal,
Poesie ital.
irredile,
lI,
p.
139.
Comp., d'autre part,
Poesie musicali dei secoli
XIV,
ZVe
X
VI tralle da "ari codici p.r cura di AlItoltio Cappelli.
Sologna,
186!J ·
- Sur les théoriciens du qu atorzieme siecle, voir Filippo VILLANI,
Vite,
p.
46,
et SCARDEONIUS,
De urb. Pala". antiq.
dans Gl'alV.
TBBS.lUR.
VI,
111,
col.
297, -
Sur la mllsiqut: l'l la cour de Frédéric
cl'Urbin, voir les détails donnés par Vespasiao o Fior ., p.
122. -
L'orchestre d'enfaots
(?
dix enfants de six
a
huit aos, que F, faisait
~Iever
daos son palais et auxquels
iI
faisait aussi enseigner le
chant) d'Hercule
1",
Diario Ferrarese,
dans l'IIURAT., XXIV, col.
359.
- Hors de l'Italie, on oe permettait guere aux personnes de coo–
dition de cultiver la musique; il
Y
eut
a
ce sujet 'une violente
discussion
A
la cour flamande du jeune Charles-Quint; comp.
HUBERT,
leod, de vila F,'id.
1I,
Palat"
1.
1lI. -
Henri VIII d'Angle–
terre rait exception sous ce rapport ; mais c'est surtout l'empereur
d'Allemagne l'IIuimilien
le.
qui est exempt du préjugé commun–
il
protégeait la musique
a
I'égal des au tres arts. Joh. Cuspi,
nian"l'
529,
dans la vie de
111.,
appelle l'Empereur :
Afusices singu–
laris amalor,
et ajoute ensuite :
Quod "elMnc mazime palel, quod nodra
.tale musicorum p,.,·ncipes omlles, in omlli genere musice. omnibusque imtro–
fIIeneis in .jus curia, v.luei in f ertilissimo agro succreverant. Scriberem
eatalogum musicol'Um quos no"i, " isi maglliludinem operis veI'CI·er.
Par
suite de ce
1J0t1t
pour la musique, on cultiva beaucoup cet art
fI
l'université de Vienne. La présence dll jeune duc Franl;ois Sforza
de Milan contribua
a
mettre la musique en bonneur.Voir
ASCBB.l.CB,
Bi.t.
de
I'uni"erslt¿ de Vienlle,
t,
11 (1877),
p.
79
ss,
.
Un passage tres-remarquable et tres-étendu sur la musique se
trou ve oil on ne le chercherai: guere, c'est-l'l-dire deos la
Maca–
ronéide,
PUANT., XX. C'est la description comique d'un qu atuor de
ehanLllurs; on apprend
~
ce propos
qU'OD
chantait aussi des chan-