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356

APPENDIC ES

mandes A I'époque de l'r1arius :

Il cortegiano,

lib. 111, cap.

XXXIII

(ed. Flor.,

185f,

p.

198).

JI

fallt rappeler que les Italiens de la Reoaissance, tout comme

les

Grecs de l'antiquité, avaient une antipathie prononcée contre

tons les barbares. BOCC.lCE,

De clari, fIIulicrolnu,

parle dans I'article

C_en/a

de • barbarie allemande, de furie franc¡aise, d'astuce

anGllue

el

de grossiereté espa¡;nole •.

APPENDICE N· 2.

En général, voir:

De l'influence de la Renai"ance

mr

h

dJ"eloppe–

..."t de la mlUique,

par Bernard Loos, BAle,

1875,

écrit qui, ponr

l'époque dont nouoS parlons, ne rait que répéter

ti

peu pres ce qui

s~

trouve ici. - Sur Daote et ses connaissaoces musicales, et sur les

lirs de

can~ni

de Pétrarque et de Boccace, comp. TRuccal,

Poesie ital.

irredile,

lI,

p.

139.

Comp., d'autre part,

Poesie musicali dei secoli

XIV,

ZVe

X

VI tralle da "ari codici p.r cura di AlItoltio Cappelli.

Sologna,

186!J ·

- Sur les théoriciens du qu atorzieme siecle, voir Filippo VILLANI,

Vite,

p.

46,

et SCARDEONIUS,

De urb. Pala". antiq.

dans Gl'alV.

TBBS.lUR.

VI,

111,

col.

297, -

Sur la mllsiqut: l'l la cour de Frédéric

cl'Urbin, voir les détails donnés par Vespasiao o Fior ., p.

122. -

L'orchestre d'enfaots

(?

dix enfants de six

a

huit aos, que F, faisait

~Iever

daos son palais et auxquels

iI

faisait aussi enseigner le

chant) d'Hercule

1",

Diario Ferrarese,

dans l'IIURAT., XXIV, col.

359.

- Hors de l'Italie, on oe permettait guere aux personnes de coo–

dition de cultiver la musique; il

Y

eut

a

ce sujet 'une violente

discussion

A

la cour flamande du jeune Charles-Quint; comp.

HUBERT,

leod, de vila F,'id.

1I,

Palat"

1.

1lI. -

Henri VIII d'Angle–

terre rait exception sous ce rapport ; mais c'est surtout l'empereur

d'Allemagne l'IIuimilien

le.

qui est exempt du préjugé commun–

il

protégeait la musique

a

I'égal des au tres arts. Joh. Cuspi,

nian"l'

529,

dans la vie de

111.,

appelle l'Empereur :

Afusices singu–

laris amalor,

et ajoute ensuite :

Quod "elMnc mazime palel, quod nodra

.tale musicorum p,.,·ncipes omlles, in omlli genere musice. omnibusque imtro–

fIIeneis in .jus curia, v.luei in f ertilissimo agro succreverant. Scriberem

eatalogum musicol'Um quos no"i, " isi maglliludinem operis veI'CI·er.

Par

suite de ce

1J0t1t

pour la musique, on cultiva beaucoup cet art

fI

l'université de Vienne. La présence dll jeune duc Franl;ois Sforza

de Milan contribua

a

mettre la musique en bonneur.Voir

ASCBB.l.CB

,

Bi.t.

de

I'uni"erslt¿ de Vienlle,

t,

11 (1877),

p.

79

ss,

.

Un passage tres-remarquable et tres-étendu sur la musique se

trou ve oil on ne le chercherai: guere, c'est-l'l-dire deos la

Maca–

ronéide,

PUANT., XX. C'est la description comique d'un qu atuor de

ehanLllurs; on apprend

~

ce propos

qU'OD

chantait aussi des chan-