APPEN1>1CKS.
APPENDICE N° 4.
Inj~I&U"4,
dans
.E,ecuD,
Scriptorel,
11,
-col.
1991. II
D'est queatioD
que des femmes publiques, mm des concubines. Du reste, rel'élti-:–
'fe·Ulen~ ~
la population probable de Rome, ce ch'iffre est énorme;
peut-étrc
a-t-jl~té
exagél1é par .s.ui1e d'une fante de eopie. D'aprés
GU\ALOI,
VI,
1,
V:enise
était
-pa,.ticuliel'ement riche en femmes de
cetteespéce,
di quelta.Jorle di
JORRe
che cor/igI471t Ion delle,
comp. a'ussi
I'épigramme de Pasqujn
(~RBGOn.,
VIII,
119,
note 2); mais Rome
n'élait pas inférieure
~
ce-tteyiUe
(GIRHDI,
InlrOOu".
No",
2). Comp.
la notice sur les
mere/riles
de Rome
(1480),
qui se·réunissent dans
une église et
y
sont dépouillées de leurs bijoux
(MURA.T.,
XXII,
, 342
ss.), el les notices conteÍlues dans le
Diarium Burchardi,
éd.
Leillnilz, p.
75, 17
ss. Landi
(Commen/ario,
fol. 76) cite aome, Naples
el Venise comme les capitales des
Cor/ig,alle,' ibid.,
fol.
286,
se
trouve un passage ¡roDique sur la célébrité des femmes de Cbia–
,enna. Les
QUfEl/ione6 ForciOJUZ
du méme auteor (fol. 9 ss.) donnent
des détails fort intéressan ts sur )'amour et ses plaisirs, et sur les
remm es des difrérentes villes d'ltalie. - Gonll'aÍJ'emeot
aUlt
auleurs cilés,
ECN.!THlS
(lJe excmpl.
¡/l.
viro Vell.,
fol. 2,12b
~.)
vanre
Ja chaslelé des Vénitiennes; il
<lit
que l'es femmes qu'.oD tirait
lous le3 ans
del'Alle.agne
étaient .seules des femmes pu bliques, -
CorNo /lgr. de "an. scien/íle,
rap.
oLXUI
{Opp.
ed.
LUfjd.,
n ,
t58~,
dH :
"idi ego "uper a/que legi sub ti/ulo CortosallfE I/aliea lingtuJ edi/Wf/t
el
Venetüs /Vpi.
U;CUSunl
de arte merell'¡cia 'I¡':a/ogum u/.n·usque ,//eacrá
/lmniu/II j/agitioliuimum digni,s,iJ1lUbnque, qui ipse
cum
av/ore
$UO
ardea/.
- Ambr. Traver.sal'l
,EpistollZ,
lib. VIII, 2
ss,)
Ilomme la maitresse
de Niccoló
NiccolijamlinafilÚliuima.
-
Dans les
lel/ere
tU'
principi,
J.
J08,
les
d01l1le Greche
sont désignées omme
jente d'ogui
COl'tentJ
"
••orelloleua.
-
Une so urce impor!ante
a
consulLer sur CGUe tl'isle
cor,poration, c'est
.Anl. PanonnjJJu
:
Hermaplvodj(fI$,
surwut
pOUI'
Sie.noe, Le dénombremeot des
lenlZ
lUplZqlUl
de florence (lib,
U)
81)
D'est sans doute pas un tra vail
de
f,anlaisie;
00
y
lit
ce pas-
IIlIGe ;
illlnaqlU Theal'onico /ibi se dabi/ obvia call/u.
.
APPENDICE N° 6.
({.De bíStoire sérieuse,
con~ue
dans UD esprit psrcholouique.
des cOl'rection8 manueHes cbez les peuples de race germanique
et latine vaudrait bien quelques yolumes de dépécbes et de pro–
tocoles de oés ociations. (Licbteoberg débute modestement da••