APPENDICES.
CINQUIEME PARTIR
APPENDICE ND
t.
Glraldi HI!CAT01tn!ITRI,
IntroduI.,
nov. 6. - Rapprochons iel
quelques détails sur les Allemands en Ualie. Sur la craintt1 de
I'invasion des Allemands, comp. plus haut, .,
1,
p.
115,
note
3.;
su'r les Allemands comme copisles el cli)mme imprimeurs, voir
p.
238;
sur le moqueries
diri~ées
contre le pape Adrien
VI
en
SI.
qualité d'AHemand, voir p.
203. -
En générat, les ltaliens
n'aimaient pas les Allemands; ceUe
antipa~hie
se traduisait par
des railleries plus ou moins mordantes,
Déja
Boccace , dans le
Düaméron,
VIlJ,
t,
dit :
Vn
Tedeseo
in
MIldo
pro
deUa
peTlona.
;
auai
leale a coloro ne'
CII;
. eroigi
.i
tlteUea; il die rw pOl/e suole de'
T,dudJi
avenÍ/'e;
le récit qui vient eDsuile est une preuve de L'astUt8
de l'Allemand. Les humanistes italiens sont pleins de critiques
acerbes contre les Allemands , .qu 'ils appellent des Barbare.
~
Les plus violents sont ceux qui, comme le pogge, avaien.
VI&
)'Allemagne. Comp. en ¡;énéral G. VOIGT.
RenaiufUlee,
p.
314
SI.;
L. GIlIGIiI\, Rapports en tFe l'Allemagne el I'ltalie
~
I'époque de
t'humanis me, dans la
Rtolle de l'histoire de la clIlture en
ll11emag".,
1875,
p.
~04-1~l4;
voir d'aUlreS détails dans
J!.NSSEN.
HirlOire
dIO
ptUple
allellland,
1
(1816),
p.
262
ss. Un des adversaires les plus
acbarnés des AlIemands était Jean Ant. Campanus ; yoir ses
Epi,toltB el poema/a,
t
101,
Opero
seluli~r.,
Leipl.ig,
173,(,
ed.
ftlElSlJiN;
il a aussi pronoDcé un discours :
De
Campalll
odio
In
Germano".
fil.
Beroaldo, qui a su louer diguement l'Allemasne, lance quelque
part un joJi traít cODtre un Allemand : CUTIGLlONB.
II
,01'tegi41111,
lib. 11, cap. LXIII. La baine conLre les Allemands fuI e.DlreleDue
par Adríen VI ; la conduite des lansquenets lors de la prise de
ROlDe.
~GRI!GOROVIUS,
Hi,t.
de la
,tiUe
d«
Rlm",
VIII, 548,
nOle
1)
De
6t que raugmeDter. BANDEW.O,
m,
noy.
30,
a représenté
J'AJle–
mand comme le type de la malprroprf té et de la bétise (sur un
¡lulre AlIemand "oír
ibid..
m,
nov.
~I).
Quaod un Italien "eut faire
I'éloge d'uo Allemand, il dit {comme Petrus AlcyonilIs dans la
dédicace de son dialogue
{J,
«z.ilio
~
Nicolas Schomberg, éd MEN–
UN,
p.
9) :
luque elli in
Uú",n,j
eÚ1ri'3ima
Gen"anie
prollinei" illVl–
tribu,
nata/ibus
o,'/us
tI,
tamen in
ItalilZ
luu eog1loleeri..
On trouTe
nrtlmenl
UIl
éloge sans restriction, p, ex. celui des femmc3 alle-