APPINOICES.
ut
eeUe "Tal ,
IIJlagt6,
t. V, p.
27a·~
. '
Quelques motI
~ur
l'Ulil íl!!
el
fur
I'babitude del eoups de
b~ton ,
soufftets, etc.,
che¡
lea dit–
Nreol$ peuples, .) Quand el par qDelle in8ueoce
I
USlse dea enupa
e.t-il deTeou enromao daos la fil mille aHemaode ? C'était
8101
doule b ien 100gtempa
apre.
que Waltberanit cbaoté : • Ce n'es,
pa
11
coups de Ter!)e qu'oo peut éleTer
1M
eotaDl. , . Eo italie,
00 ce
le
de bonne beure d e donDer de. coups. Matreo Vegio
(t
1468)
recommande
(D.
tdlU,
líber"
lib.
1,
c,
x.rx) de ne pu
abuser de" tOU ps, maJ.
iI
dü cependaot :
C.dendo~lI&ag¡.
U4.
filio.
f'I-
pUli/Mli..¡",i.
bÚllldirii.
la<:lllndo.,
Plus tud, uo entan t de sepl ao,
ne
re~oi t
plus de coups, Le petit Roland
(OrWaáillO,
cap
V II,
tr,
42)
pose eo prin
¡pe
que :
01
.11
ulal
al
PO"'"
~uloDare.
o
uu
tal bulla ' ....1. pallrel,
Le. buman istes allemands de la
R,naiwJJlc"
par
ex.
Rodolpbe
A61'icola
1
Rrasme. s'élevenl éoer6iquement coolre le. coups. que
les ancieu mallre d'école re6ardai ot corome I'élémeol le plu s
ntleenaire de l'édu I'atioo . !Jan le récit de la vie des
Écolier.
,rronl. lI la
fill
du quinzieme ¡ocle
(Biograpllie
de
TIa".~
PlaJln',
éd ,
" l'cnT"JlII.
O~le,
1840),
et dans
le
¿i»rel
de
ro..,rier
no
Doyag' ,
par
BOTZB.l
u, éd,
OscKsn,
Ratisboone
( 18691, 00
trouve de nombreux
exempl
s
de l'applicalion de la métbode des eoup., appliquée en
ce
temp.....
ll.
APPENDICK N° 6.
comp. lea aource eitées dao
FAV1\1!,
M¿lang"
d"1ai,t.
litl"
1, HUI,
Con
10 ,
rol.
411
ss.
Le
ro
I1U
remplil cbez cel aul eur pres de deuJ
piS s
err es. ' otra autre cbo ea 00 apporla auasí uoe mono
ta6oe, d laqu elle 50r l;l un bomlne vlvant, qu i se monlra élon n6
de se lrouver au mllieu d'uo
r
Le
au
si
brillan te,
l
qul disparut
en
nite. apros avoir exprimé a surprise el
Sil
joie
p
r uo e lirade
en verso ' (CnBoollov IUS,
VII,
p.
241..)
-
Infunua.
daos ccaao.
S'rl'pll"
n.
01. .1 96, -
Slro5ii pOe/e.,
fol
193
" dan
le
premler
IIn e de
,ft~$liclaa.
-
Quelques délails ur le boire el le manger
. er aienL
A
leu r
pi
e id . ous oou born eron
11
qu elquei indica–
lions. Léon rétin
(Epill.•
lib. 111,
ep.
18)
e plainl d'avoir
l~
obli6 de dépen er un somme énor me pour le repas de n oces.
pour
I b.
bit, Le., et d'a\'oir
00
1u son mlIlril1lOniil7lt et dépens!
. on
patr;'lIO..
i_
le m me jour. - Rrmolao Barbaro décrit daD une
Icure
~
Pletro
C4r
le
meou
d'uo rt'pas de noces chal Tri"rullio
(AoGell
POLITI4
I
Epi,/. .
lib. Ul). - Ce q ui
orfre un in térét
l Oll t
partl
uU r, c'
lit
la
lute
de
meLS
el des
boissODS
qui
se
'rou,