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JlHlEURS ET RELIGION.
entre un principe et I'étre concret qui le symbolise. e'est
•a
l'Église dégénérée qu'incombe la plus lourde respon
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sabilité dont l'hístoíre ait jamais faít mention: elle a
imposé comme une vériLé absolue, en employant pour
cela tous les moyens que donne la puissance, une doc–
trine altérée el défigurée au profit de son omnipotence,
et, forte de son
inviola;IDm~é,
eHt} s'est livrée
a
l'immo–
ralité la plus scandaleuse; pour se mailltenir envers et
contre.
UQut,
cl~
a"
p<lPtlé
eres
«"ouPS
mOJ!lie-ls
a-l'esprit et
a
la
conscieo.cedes peuples, et elle a jeté dans les bras
de
l'illCré,dij~pté
et de la réYQUe be'3u€oup. d'hommes
supérieurs
qp'Í
I'Qnt répudiée moraJ..emen t.
IGL
se pose
L<lt
~esti(ill
sutvaate : PQ LWqUOÍ l'ltaUe, ce
pa~s
si geaad par L'íntelHg;enne,. o'a,.t-elJ.e
[las
réagi
~lllS
fortemcnt con:lJ'e
La
hiéparchie? Paurqlloi. n'a-t-elle pas,
eomme l'
AJlema~ne
et plus
t6t qu'elle:,
aC€>OJllpJ1 lIQe
r,éfol'me reLigi.euse ?
Il
ya une nép01l:5e spécieuse
A,
faiJlé
~
a'est
que l'ItaJJe
n'est
pas
aHée au
del:A.
de la nég,atio,n
de la
hiéraFcwe,
tan.dis que l
'origine.etl<h fO.Qce inv.incibLe: de·
ta.
Réff(,).rme
aUemande
S9,at
dues
a
des
doctEine~
p0Sitives. sur.tout
a
ceHe de la justificatiQR
()'ar
la,
foL
et. de l'ineffiicacité
des bonues reuvres·.
Il esl ceIltain
qu.e
C'es. dOl!trÍA.e5
~ont
iafiué.sur- l'ItaH.e
qu
'apr.esavoir
chan
~é.laface
de
l'Allemagn.e."et
ftll:'elJ~s
se sent pr.opagées beau€Qup trop
t~d
au dela. des
monts., alol1s,
€lile
la pwssaaee espagn(j)Je é.tait.
boien
assez
gllande. p(j)IU les ét().ll!ffer, soit
en:
a~i!iSant
di'iectement,
soit en ayaat'
I1MOUI1S fl¡
la
pap.auté.eta
ses,
SU}l)~MSI. ~1.ais
ICe.
qu.-e
naus.
appelGJ1S'I'es,
pr.itde la
contre-l1é:fio,rmatilln.
sJétait
dév.eJ¡0ilpé en Kspago.a
bien.
lon¡¡,temps a,vant la Mtorro.e elle–
méllle, e.t. cela ¡¡rAce
A la
rigoune>use
sunveidlao.ceex.eJicée par
Fer.dinandleL
~abelle,
e
~
A
lar~J!gani,s.ati.@n
pallLie.llc
ql1'i1~
a.vaient
faite des institutions
~cclésiastiqucs.
GQnsuHel! surtout
GOMEk