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216

MOEUBS ET

RBLIGI(!)N.

en lui un chef loyal el un gr.ancl capitaine

JI.

En génétal.

les crimes des condottieri Oilll t

d~

la fplupal'it

du

tero

~lre

commis

par

in,térét,

sous l'¡in{iluence

de

leur silua–

tion, qui était démoralisante au plus haut poiRiI:.

m~me

,les

cruau ~és

qu'iJs :semblaieot -quelquefois com–

rnetAire de

goaiet-é de oreur out

1111 e.tre

le

plus souvemt

calclilées• .o'eussenl·ils eu d',au1re but que

d'itltiJt.1!J ider

les

,g¡ens.

Les oouautés ¡des

p!~ioces

de la .Illaison d'ÁIl'a–

g,en avaieQt, aiusi que

IHOUS

l'avons vu, leur prinaipale

source daos la ven.geance et la peur. La :soif du san,g

ins1li.nctive, la

ra~

diahoHque

de dél rllM'.e et

c1e

lller

se trourer ont -surw-ut chez l'Espagnol CéS3Jr

í8o~8 ,

doot les crimes ¡dépasstillt considérabJemeil.t le but

qu' il

veut atteindr.e e u rtu'an lui <supp.o e (t.

J.

p.

1110

:S5.) .

IOn

r.econnatt I'amool' illDé l1u mal chez SiB'i¡;ffiQlld Ma la–

testa, le .tyran de Rimini

(1. J,

p. 4t et 262 ss.); ce B'est

pas seulemeu<I; la turje l'ornaine ·, rnais e'es:t

aD

i la y.oix

de l' histGire qui 1'a cuse de meul'tre, de d-ol, o'adulMl'e,

d'jnceste, de sacl'iMge, de parjure et de trahiso.n; .mais

on crime

te

plus horn1ble, la

ten tat~l\'e

de "jol -qu'il

lit

ur son propre fils a ober t,;el

que

ce jeou-e

~lOill1me

repou

sa en

mena~a:nt

SOIl

¡p,ere da .poiglnard

.,

P'

url'ait

I ien

~tre

lDoins 'le l1ésulltM: de sa dépra"N',ation

que

d'e ffet

d'l1Ile upeil'.sLilion ,asu'olog:iquc ou

m~ g1ique.

C'eSlt .ainsi

qu'.on a e.sayé d'eIlp1iquel'

(a

~i olet1oe

fai te

a

l'é'véqll:e de

Fana • p3.1'

,PJerluJff~

Fatrnese de Parme, fi'ls de Paul

~ lli.

Si

\'.on notlS penDet de

I'é

umer

les pr1iJueipaux traits

du caractere italien tel que la vie des clas es .;élevées

I

Pu 11

Comment.,

J.

VII,

p.

338.

g

Jovian.

Po

Cl\U'I.,

De

immalli lflle,

cap.

X\Vfl,

Op:p..,

lt,

.s68,

>en

Il

est

questioo au

si

de

SiGd

mona

re-ndant ,melle

sa

propre

filie ,

¡et

d'autres mODstruosités .semblallles.

a V

Al\CHI,

Stonie

jiorell~j¡le,

Ala fin. ,(Si l'ouvralJe ebL

eDtier,.enmmo.

p.

ex.,

daos

l'édit ion de

.M,ilao.)