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D E M A R C H A N D.
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disputer de gout avec les Kamtschadales , mais il peut
erre permis de ne pas avoir le leur ; on croira cepen –
<lant que la chair du
Líon Marin
eut paru bonne en
179
r .
Man.
FR AN CE, dans le temps ou l'on
y
mangeoit avec plaisir
PHoQurs.
de la•
Baleine.
Quoi qu'il en soi t ,
j'observc que rout
Phoques
aliment
frais,
quand
il
est
111a11geable,
et qu'il ne cause
o
oreillcs.
aucune incommodité, est préférable de beaucoup pour Le
Lion marin.
les Marins, dans les lon gues Nav igation , au mei!feur
P orc de FRANCE, au meilleur Breuf d'lRLANDE, si
• !'un et l'autre sont
salés.
On a vu que les
Lions de Mer
se trouvent sur les cotes
des TER RES MAGELLA IQU ES, sur les iles de J'tfémis –
phere Au;rral, situées dans les hautes Latitudes, telles
que la TERRE-DES-ÉTATS,
les
il es MALOU INES, la
NOUVELL -ZfrLA
DE,
& , ';
et qu'ils peup lent aussi
les Mers
u NoRD entre
I'
SIE et l'A
·
IQU
, ou ils
fréquentent
lel l
U
ILES ,
l'!le
de BERING, et
d
ns
ASSIN
des
soixantieme Parallele et au - dessus , peur - étre meme
d'al(tres parties du Nord de l'Ancien et du Nouveau
Continent dans l'OcÉAN ATLANTIQUE, _ou fls
se
trouvent confondus dans
la Dénomination géné–
rique de
Plioques,
ou
Veaux Marins,
dont la Famille
' On n'cn
a point trouvé
sur
l'lle
Saint
-
Pim-.
,
1'11c
Grorgia
de
Cooh,
mais seu lement des
Phoqurs
a
muuau ridé
et
<le ceux que
G. Forsur
n omrne
Ours JV!arins.
(
G. Forsur's
i
0
'!J'"C'·
Vol. lI ,
pagc
5'
9.
)
D
J