77 / 592
D E M AR C H A N D.
59
•in pourroit le nommer le
Bawf M arin;
car
il est abso–
lument de
la mi me Espece que
les Veaux Marins ,
[ Common Sea!] et
íl n'en differe que par une taille plus
graf1Pe
' "·
Que
l'Ours Marin
soit un e E spece différente du
P lioque commun,
ou qu'il n'en soit qu'une Variété ,
cette distinction est ·plus intéressante pour le Natura–
liste que pour le Navigateur : ce qui importe le p!us
a
c.elui-ci' c'est de bien connoitre !'animal' et d'etre
instruit des ressources qu'il en peut tirer. J e vais ajouter
quelqu es détails
a
ceux qui nou s ont été donn és par
COOK et FORSTER; ils con viennen t
a
l'Ours Marin
du
Suo' comme
a
celui des Mers du NORD.
' Ainsi, d'aprcs l'opinion de
CooA, l'Ours
M arin
de
Forsur
pourroit bien n'etrc que le
Loup
Aifariu
de quelques N avigateurs
Pran~ais
, le
Pho9ut commun
que
Bougaillvil!t
a vu sur les lles
Alalouinrs,
oi1
l'oo trouve, comme sur les lles de
Nriv-Yrar,
le
LioN
Aifarin,
avec un
Pho']ut co111m1111
qui ne differc que
par
la
tailie,
du
Phoqu<
de
l'Améri']ut
du
Nord-Es1,
179
1.
Mars.
:12.
PHOQUES.
Phoques
a
oredles.
L'Ours marin.