237 / 524
D E M A R C H
A
N D.
221
éloignée , laque!Ie, saos doute, ne
le~r
présente pour la
peche
OÍ
les !11emeS facilitéS
>
OÍ
la 111effie abondance
I •
Quand on examine la situation de l' ile de l'ASCENSAO
daos l'ÜCÉAN
~TLANTIQUE,
etcelle de !'lle CHRISTMAS
dans Je GRAND - ÜCÉAN' la pre lniere' placée
a
huit
degrés au Sud, la seconde
a
deux degrés au Nord de
la
Ligne, !'une et l'autre jetées au milieu de leur Océan,
a
une distance de toutes Terres qui doit
paroitr~
im–
~ense,
comparée
a
la lenieur de la marche eles
T ortues .:
on croiroit que la Nature prévoyante, apres avo ir peu¡:ilé
de ces Amphibies une partie des Cotes .des deux Con–
tinens' en ait affecté
a
dessein
a
quelques lles solitaires'
pour le soulagement <les Navigateurs qui traversent l'im–
mensité des plafoes liquides qui partagent notre Globe
e'n deux grandes Iles.
Les
Tortues
propres
que
le~ ~avigate
·–
dance sur les p
it
lNDES, sur d'aut
~-==~
sont,
en partie , des
Tortues de Terre
ou
d' Eau douce
J
d'une
Espece semblable ou analogue
a
ceíles qui abondent
sur les iles
GALA~AGOS
: ces
Tortues
sont domiciliées
' Le
2
juil!et 1774,
a
60
lieucs enviran dans l'Ouest des
í'les
des Amis
(
Lat.
19.
0
49'
Sud - Long.
179.d
38'
Est
de
París)
,
Cooh
découvrit une petite !le hasse qui lui parut
n'errn habitée que temporai:eme1ú par des Pecheurs :
íl
aperyut
un grand nombre de
Tor11tes
aupres du Banc de Corai l, ou
1
du
Ressif, qui
c_erne cette
ile, (
Co_pk's
2 ,d
V'?)'age.
Vol. II,
page 24. )
l
79
I'
Fóvrier.
'fORTUES
de
MER.
La Tortuc
Franche.