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ils eurent aussi soixante soldats de blessés.
Du
co té des ennernis on trouva parmi les mo ls
}tnaverdil
am,
qui fut r enversé de dessus son
~léphant
de deux coups de feu qu'ilre<{ut,
l'un dans la
h~Le,
l'
autre d a1
s
la ¡loitrine.
Il
y
eut aussi neuf de lenrs pri ncipaux
Chef~
qui res then t sur la place avec plus de mille
soldats.t Le n ombre
d e.~
b1essés fut tres- gr:md .
Q n
Gt prison n ier Mnfouska n
J
fils aíné
d u
Nabab, son oncle :1\Iounourou-Dekan et dix
de leurs p1·incipaux Oiliciers de cavalerie.
1\louza fe rziugue ct Ch:mdasach ne perdí ren t
pas un seul
homme, et en
eurent tres-pcu
de
b l
sés d ans la poursuite
et
d ans
le p i11age .
Le premier e u
t
pour sa part du bntin, qu a–
r au te-trois 'léphans ;
le
sc'COlHl , dix- neuf.
On
tun tousles autres quel'on ne
put
pren–
dre . On pri t aus&i plu s; .. rs chevaux que
1'on partagea .
La
plus
gumdc
partic de
la
c avalerie cnuemie pas:la au serviL e de J\1o· za–
ferz~ngu~
e l
de
Chandasaeb.
es
Fran<; ~i~
,e
se
reserverent pour tout nvanlage,
-que
l
h on–
n e ur du combat,
e
qui donna
aux
lVlores
la
plus grande idéc de
la
di scipline et du désin–
téressement d es troupes Fr
uc;aises
dont ils
vcn aient d 'admirer la valcur.
.Apres la victoi re ' rüo uzafe rzingue honora
le fils de
Chandasaeb
du
tit re
de
l
rabah
de
Trichjra
pali et de l\Iaduré, et confi r ma,
au
n om
de
l'Empereur,
la donation de
qua–
rante.:.ciuq Aldées ou Villa ges de Villenour,
voisins d e Pondichery,
du
revenu
d'
envi10n
soixante
a
q~atre-vingt
mille roupies
'~ que
o
2
.