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SOl!

t

d..

fc '

I

ffi

s coule ¿cucemen (es jours

daos

me honnéte m¿díocnté

10

{j

igneUT riche

r

puif–

fan a d'orclínajre le creur {) .

tri

par

1

foucis

les p us

amers.

L

cr

e

dit:

1~IUS

cure que

fiquaas

Tu:

muulLTU

Jonltus arlTUJrum firaque

u la.

ti

sou

3 7

líe enans

g'

n

'ra .

des califes daos lelll'S

pronn s

&

dans leurs armées'

mm

la ptúlfance des

alite

, 3D

décbue peu- -peu par aiverfes r oluooDS

&

(ur·

out par

la

trop !mlDde 'tendue de pa foumi

leur dominaoon . ce líeutenans

g •

néraux . ,rigerent

en (ou erains. aladio gén .

ral

des rroupes de

0-

radio roí de D amas prit ce o cre

&

fut le premi

r

[oudan

d Egypte.

Les

empereurs tUTes dérruiúrent

tomes le perites dinafties que les

[owians

a oient

fondées dan l'Afie mineure. comme elle de Cogru

de .aramanie

&.

oumirent au celle d'Egypte

en

1516.

OUT

1

étymologie du

motfoudan,

°

LT ,'.

O DAN OUSOLDAN

f.

m.

(lFifl. mod. )

efi

le

nom d'un-offici er de la COUT de Rome

qu

o n appelle

amrementjuge

de la tour de nove,

ou

m.¡r¿chaL

de

Ro–

m'

ti

la

coll'r de [aveUes

;

c efi une e(pece de pre •

qui a la ga rde des pri[ons

&

qui connon de plu–

{jeurs affaires criminelle , (ur-tour de ceLles

Oll

les

courci(anes (ont impliqu •es. Pendant la va an e du

íiege, on luí conne quelquefois la garde du concia e

a ec des (oldats (ous (es ordres. Ducange ,

gloffar.

laÚnit.

OUDE, ou

EL DE O DE,

(Chimie

&

M 'du. )

on

appelleJoude

le (ellixiviel, oule endre de plu–

úeurs plantes qui contiennent du [el marin,

&

quí

croilfent pour la plllpan (ur les cotes maritimes des

pays chauds , quoiqlle on en trOllve quelqlle -unes

au milieu des terre ,comme le kali geniculatum que

Henkel a cueilli en axe. Les botanifie n'ont ' clairé

ju(qu'a pr ' (em qu'imparfaite-ment cette partie,

&

nous trollvon

fi

peu d'ordre

&

de clan ' dan le

nom

&

les de[criptions qu ils donnent des plante

dont on a coutume de tirer la

foude,

que nou n 0-

fons en pr ' (enter un tableau complet ; on les a pre(–

que toutes confondues fous le nom de

kali

,

tandis

que plu{jeur font de différens genres. M. de Juffieu ,

mimoires de L'acad¿mie

'7'7

~

nomme

kaLi

d'Efpagne

annuel cOllché Cur terre,

él

feuille courtes ,

&

de (e–

dum , cellli dont on retire principalemenr

el

Alicant

la

[oude

dite de

btuille.

On prépare

lafoude

dans plu–

úeurs aurres contrées. Les marchands difiinguentces

Jifférentesfoudes par le nom que la plante dont on les

tire a dans chaque endroit. Ainú ils appellent la

[ou–

de

pr 'parée

a

Cherbourg

,[oude de 'IIar,ch ;

ainíi ils

divifent celle d'Alicant en

foude

de barille

&

[oude

de bourdine. C'efi du

kali geniculatum

de Catpard

Bauhin , du

ka!i majus cocldeatofimine

,

&

du faLfola

[ativa

du meme auteur, qu'on retire les

[oudes

com–

munes. Pour y parvenir, oici la méthode qu'on

fuit dans tous les pays Otl le travail s'exécute en

grand ,en Egypte, pn! d' Alexandrie,

a

Cartbage–

ne,

él

Alicant ,

i:\

Cherbourg,

&

en d'autres endroits.

On cueille cette plante qui a cnl fans art , ou qu'–

on a femée pour la multiplier; on lacoupe 10tfqu'elle

efi dans

Ca

plus grande force, on la

faít~ '

cher au (0-

leil comme le foin; on la met en gerbes, apres en

a oir rama.1t' le fruit,

{j

on fouhaite ; on la brflle en–

fuite (ur des grils de fer , d'ou les cendres tombent

dans une foífe. ou par un procédé plus fuivi, dan

un grand creux; on jette d'abord une botte de kali

(,' chée

&

enflammé ,qui r ' duit (ucceffivemcnt en

cendres toutes celles dont on la couvre peu-a·peu .

Le feu éreinr naturellement, on tire du creu'

1

cendres qtú contiennent une rr ' s- grande quantit de

{i

1alkali fixe mann

(voye(

EL) ,

auquel on a don–

n ' le noms de

[oude

{oude en

piera

,

[a/icore

,

[ali–

COle

la moríe ,

alun

c.aLÍ

dont Pline dir que que la

d cou rre eH dtle d s mar hands

~ui

jett¿ pa: la

tempere I cmbouchure du fleuve B.elus en y ne .

nrenr cuire leur alimens a ec le kali , donr la .:en-

dre unie all Cable ur lequel lle tomboit forma du

rre par la UJion de l un

&

de l autre.

On pr c;rera

lafoude

d pay

cnauds~.

celle de

e

e e

11