SMY
SMY
&
iong de quatre cens paso
00
a
tr6üvé
dan le '
\ondemens un p'0t de m 'daiLl.e quí font toute d
l empereur Gallien de fa farnllle ,
&
do
raans qui
régnoient en meme te s que lui ; ce aui feroít con–
jefrurer que cet mpereur a 'oit fair
b~tii'"
e (up
rb~
'difi
e, ou que du-moin iI a 'oit 'té bihi de ( n
tems,lI en a pourtant auí sHnrent u'il ' t Mí du
tems de l'em ereur
Ia~lde.
11
e
fi
nd nt
tUI
e
qu'on a troU\·é daos la feene de ce
thé~tre
un
ba{e?e atll
~lli? avoi~}Iu
le mot de
CI<l~dius.
Ce n efr pas -la neanmoms une preu e (uflilante ,
paree qu'il efr affez ordinaire e trollver dans les
fondemens des aneiens batimeos les m ' da' le d s
fondateurs ou des empereurs eontemporains,
Le cirque 'toit ereufé profondément d¡¡nsla mon'"
tagne qui eíl: au couchan! de la eitade e. 1 ea
fi
bien
detwit, qu il n eo refre, pour aioii dire,que le moule!
00 en a emporré tous les marbres,
mais
le creux a
retenll (on ancienne
figUT'é.
~
efr une ef¡Jeee de
vall 'e de 465 piés de long, úlr
120
de Iargeur dont
le haut efr t rmiilé en
demi-~ercle
&
le bas ea
ou~
vert en quarr' . Cet endroit
pré[enteme~t
ef! fort
agréable P<.tr (a pelou{e, car l s eal1X n'y
crou~iffel1t
point. Il ne fallt pas juger de la v'rirabl grartdeur
du cirque ou du Hade, par les me/llres que non
avons
rapport~es;
on [; it que c s fortes de
lieu~
n'avoient ordinairement que
J
2.)
pas de long ,
&
qu'on les app lloit
dial/les,
qlland il avqient le do,u–
ble d'étendlle' comme celui-eí. On d 'couvre de cette
coIline toure la eampagne de
S1l2yrllt
qui
~
parfai–
temen! belle ,
&
dont les vins étoient efriOl s du
tems de trabo}.1
&
d'Athénée,
On voit dé:ns ce meme endroit ql1antité d'anciel1s
fondemens, mais on ne {ait point ce que c'étoit. Les
in{criptions q I'on
y
trouve,
&
qlli concernent
tOll~
tes la ville de
Smyrne ,
{Ollt en a{fez grand hombre ;
quoique la plúpart ne (oien t que des fraglnens Olt
on lit le n0l11 des cmpereurs Tibere , Claude'
&
Ne–
ron, Strabon donne ¡\ pluíiel1rs princes le titré de
riflaT' WlCU/"S
de
Smjrne
j
&
le fragment el'une de ces
in{cri rions attribue la meme gloire
a
l'ethperellr
Adrien en ces termes:
AYTOKP TOPI. AóPIANfH.
OAYMnlílI :!:,QTH PI KA! I<TJ:::THI;
c'efr -'¡\-dire
~
JI
A l'empereur Aclrien, olympien, 'fauvel1r,
&.
>1
fondateur.
pon a tran[crit une grande in(cription 'tirée du
meme lien; c'ea lIne lettre des empereurs evere ,
Anton in
&
CaracaLla ¡\ ceux de
myrne
j
en voici la
traduétion :
11
Les tres-divin empereurs Severe
&
" Antonin
a
ceux de
Smyrne.
i
Claudius Rufinus
" votre citoy n, lequel
a
caufe de fon application
"aux 'tlldes
&
a
l'art' d'orateur, eíl: di(pen{é des
" eharges publiques {elon les divines conaitutions
, établies par nos ancetres , eíl: néanmoins obli–
,,~é
par une néceffité indi[pen{able ,
&
a
vo
"e'
, réql1iíition, d'accepter l'em loi de gouvern ur,
" [aites en Corte qu'ilne (oi pa troublé par d'autres
"occupation , comme il efl juae; car ce feroit une
" chofe indigne de lui que I'affeétion qu'il vous por–
" te, lui de Int on .r ufe; pnifque c'efl ous-memes
" qui a ez demandé cette rac pour lui. Bien vous
" {oit. Les député om 6t Aurélius, Antonius
&
"ft:lius pératus.
n a donné dans les mémoires de Littérature;
lOme
1V.
pago
6'J .
une in[cription gregúe envoyée
de
rn rm , avec
de
nmarqlltS
par . Kuíler. ene
in( ription traduite en franc;ois porte:
Hermogeoe tils de harimed_, qui a écrit de la
.decine eíl: mort ág' de (oix nte
&
di" -[e
&
ayant laiffi' autant de
Lraités.
Médecine (oi 'an e-doU7e.
e
li.
'res hiílorique
{¡
Ir de la ille d
U ' ,
Hh