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s

vI A

m¿-'1De allteur ont 'té r ' pandues dans les

m 'moins

d

s

curieux de la n1/ure. ( D.

J.)

SLEW-BLOEML, (

G¿og. mod.)

montagnes

d

Ir–

¡ande , dans la pro inee de Leirúler, au

Qu

'ens–

unty. Elles donnent la {ouree

a

n ois rivier s, le

. arrow , la Shure

&

la Nure.

( D.

J.)

LEW-GALEN ,

(G 'og. mod.)

montagnes

d'Ir–

. ncle , dans la provinee d'Ulíl:er ,

au

comlé de Ty–

rone. e comt ' eíl:di\'ifé en dellx grandes parries par

des montagnes qlli le traver(ent dans fa longlleur.

es montagnes om quelques mines de fe r

don-

nent la fource

a

di vedes petites rivieres , qui cou.lent

er le lac de Neaugh.

(D.

J.)

OLD DrA,

Oll

S LDAIA, (

G¿og. mod.)

ville

(ur la cote de la Tartarie-Crim 'e , entre la vdle de

afTa

&

le cap Jukermen. etce petit viU efi priCe

p OllT

I'ancienne

La{?y ra.

(D. l. )

~LOAN

E,

f.

f.

(Hij!.

ltat. B otan.

)

jloana,

genre

de plante dont la fl eur eíl: ou monop 'tale en forme

e

c\oche profondément d 'coupée, ou

Cans

pétales

&

compo(ée de pluíieurs étamines , au milieu de{-

lelles s'éleve un piíl:il , qui devient dans la {uite un

fru it

rol

d, membraneux

&

hériífé de pointes. Ce

fru ir !>'ollvre en quatre parties,

&

contient des {e–

mences oblongues , renfermées dans une 10ge char–

I UC.

PJullli

r,

novaplam. amero

.gen.

Voye{

~LA

'T E,

SLOBODA, (

G og.fllod.

)

vdle de l'emplre Ruf–

fi en , dans la province de W iarka ,

(ur

la rive droite

de la \V iarka , au-de/fous de Orlo.

(D.

J.

)

SLONIM, (

G¿og. ',?od.

)

petite ville du dllCh.é de

Lil huanie , au palatinat de Novogr?deck , cap'tale

d'un dilhia de

m ~ me

nom ,

{m

la nve gauche de la

~C1í1ra .

LOfllJ.

4+

' 0.

latit .

.

52. . 40.

(D.

J. )

L

O

EN ,

(G¿og. modo

)

petite ville des Pro-

inc s- nies , dans la

riCe ,

capitale du Weflergoo,

fu r le lac nommé

loolu-nmr,

¡\

une lieue du Zui–

derLée ,

&

el

trois de neek. Cette viUe eíl: marchan–

de bi

11

peuplée ; elle a

pou~'

{a

déf~n{e

un foífé

r mpli d'eélu , des reOlparts

&

Cll1q baíl:lOns. Son ter–

roir efi fe nile en fromenr

&

en parurages.

Long.

2, .

7.

[(/fil.

"3 ' 3 .

(D.

J.)

L ZK , (

&'¿og. modo

)

viIle de Pologne , dans

1

rdnJ du

de Lithuanie ,al! palatinat de Novo–

g:od

k ,

capitale du duché de

m~ r:'e

nom .'

{u~ l~

ri–

I

re

de

luc{k.

Elle íl: toute baue en bOls ,

(l.

I

ex–

cepti n de qu lque édifices p\lbli

&

du palals du–

ca!'

Long.

4.). ,,8.

laÚl.

" 7 . 37. (

D.

J. )

SL ' E

, ou

LlE,

Oll

L

, (

GJog . modo

)

ri viere

e DaMll1ar k , dans le

J

utland méridional. ' íl:

pr prem nt un golphe de la Oler Baltique, qui entre

dans

k

terres,

&

'lui eíl: beaucoup plus long 'lue

Jarge. Il a cin'l milles de longueur, depuis to n em-

ou hure juf'lu'a

ttorp.

n

y

peche toute

Corte

de J>oifr n ; mai l' mbo\lchll re e!l ferm ' e par du

fuble de la vafe ' des pierre

nfort qll 'il n'y a

pa

él'

t.L

d . fonds pour l' ntr ' e des grands aia' aux.

(D.1. )

s

M

s

E

cooJid

~

rabIe

~e

la prin.cipaue' de Henneberg

&

el!

apparuent aUJourd hUI au prince de H

ít -

Cairek

ette

ville

efl: renomm 'e dans l'hiiloire

par

le

con~

f '

d 'rations

qu

les princes prot íl:an

firent

153° , 1- 37

&

1

5

~o,

pour la d 'fenfe de leur reli–

gion; d'ol! la guerre'lu entreprire-m conn' ux har–

les-Quin

fon

fr

re Ferdinand, fut appell

~e

la

guare

fmaL~aLiqlU

dom

1

on {ait 1 'y 'nem nt.

Long\

2.8.

4;·

Lom.

.5', 9 ,

CeLlarillS

(

Chrillophle ) ,

I'un

des plus favans hom–

mes de fon pays, naquit

¡\

Sm lkald n

en

16

38 ,

r

mourut

a

Hall en Saxe en

1707

a

6

ans.

11

a donn

un grand nombre d'ouvrages,

&

a procur ' la r 'im–

preffion de pluíieurs auteurs anciens ; mais entre {es

o~lvrages? auc~n

ne lui a faie plus d honneur que {

g ographle anClenne

&

moderne , dont on

él

fait plu–

íieurs éditions. On trouvera le catalogue de Ces reu–

vres , avee des remarques, dans le P. Ni éron,

lom.

V . p.

273 .

&

fuiv.

(D.

J. )

SMALTE , (

Chimie

(/

M Jtall.

)

nom que I'on

donne aífez {ouvent au verre color ' en bl

u

par le

cobalto

Voye{

rarl.

SAFFRE.

MARAGDO - PRASE, {. f.

(Gram.

Hij!.

nat

LYlhoLog.

)

{orte de pierre pr ' cieuí{: , qui tient le mi–

lieu entre l'émeraude

&

la prime d'émeraude. Elle

efi verte ; elle a un peu plus de jaune 'lue l'émerau–

de; elle efi pre(que opaque, rarement tranCparente.

On la regarde

OH

comme une fautre émeraude , Oll

comme une efpece de pierre néphrétique.

SMARAGDUS,

MONS

,

(Géog.

anc.)

montagne

d'~gypte,

íituée , {elon Ptolomée ,

L.

J

Y.

C.

v .

(ur la

cote du GoJfe arabiqlle; c'efi peut-etre dans eette

montagne qu'étoient les mines d'ém raudes dontHé...

liodore parle íi Couvent.

(D.

J.)

SMARTA,

(Hifl.

mod.)

nom d'une feae de pre–

tres ou bramines de l'!ndoftan , qui prétendent 'lue

les diellx

Vijlnoll

&

IJIimn

ou

Ruddiren

,

ne font

qll'une meme divinité , adorée Cous des emblemes

&

des figures diiférentes.

Il

y a peu de gens du peuple

qui adoptent cette Ceae, vu que {es principes paJo

roiffent fore au-deíflls de la capacité du vulgai re,

SMECTIS,

f.

m.

(Hi(l. nat.)

nom donné par quel–

'llIes natllralifies

a

la

Lard

ou

(leatite.

VOyt{

LARD,

piure de.

\Vallerius dans

(a

minéralogie,

donne ce nom

a

une

e{pece de mame , qu'il nomme

mar;a

JI/llonum

fa'"

ponacea lameLlofa ,

Oll terre a foulon {avonneufc

&

feuilletée.

SMECTYMNUUS,

f.

m.

(Hij!. d'Angl.)

eíl: unter–

me gui a 't ' célebre du tems des guerre civile

&

durant l'interregne, II étoit formé des lettres in i–

tiale des noms de cinq célebres minifires pres....

bytériens de ce tems·la , 'lui Cont Etienne Mar :

shal , Edmond Calamy , Thoma Yong , Matthieu

1ewcomen,

&

Guillaume puríl:ow , qui écrivi–

rent en(emble un livre contre l'épiCcopat , en I'ann 'e

16.p

, d'Otl leur efi venu a eux

&

a leurs adhérens

le nom de

fmoélymnuens.

S.\1EGM

,e

m.

(Médec. anc. )

ce mot {e trollve

íi (ouvent dans les auteurs grecs , qu'il eíl: bon de

l'expliquer une fois.

11

ient de

oP.h):.<JV, n

lloyer

en

frouant.

' toit une efp ce ele compofition d'ufage

en (anté

&

en maladie. On en fervoit particulie–

rem

nt

pour rotter la peau pour en

o

er les

u

'.man–

geaifons, pour ouvrir les pores , pour IOlllager de

doul

lIT

de la goutte , ou pour le prévenir.

La baCe de eett compofnion ' reit

Ol!

de chof¡

adoucilfantes , ou des poudre d 'teruve eommede

la fa rine de fcves , des femences d melon, de la

com de cerf de I antÍ moine des os de eche , de

eoqllillages , du {oufre,

&:

1

des

(~ls

de

d,if~r~~~t~s

lo n

S.

n prenoit alúli guc,quefúl5 de

la

t~aptlif31-

gre de

r

Ilébore de la celllaurt:e

un

pOlVre , d

nard, du ardamom ; on prenoi( en ore dc:s om.