'·
/
S
fA
l,.cs
'&.O.nPU/fiOiu
qui furvier¡nel},t
~
l'elfet d'u?
i~éti~
J!Ue ,
~
une
(uperpu.rg~,rion, ~ 1~ p~ffioit ili~que, ~
un
jlux
immodér~
des regles;
0\1
des
',hémorrho'ide~, ~
uo
e hémorraBie
CO~l~dér~bl.~
1
a
u~
e. ble(fure ;
.a
de~
veilles exceíp.ves,
a
U(l
c,l,élcre cc;>ntc.l}uel,
&c.
fo~t,
fu iya nt les obfervarions d
1
J-lippocrare, de
Wal~fchmid1 ele Bagliyi 1
&f.
pref9ue rouj9urs
ll)Ortel~es.
Dans les jievres a_igueJ ave.c be¡,IUcoup
d'ard~~~r,
le1
.difleníions
.fi¡afi~rodr9,11U
fon r d'un mauvais augure .
Hipppc. r¡phqr. q .'IJb.
Pf.f.
ll .en efl: de n¡eme
desJpfft
thu
qu'aécompagnent les douleurs vO<es daos les en–
trailles,
apbor.
6~.
(ib
1
fV.
les
mou'!'e"lt'!s commlfilf
des mains ou des p1és turycous dans
J~
cours d'une
fi evre
aigue, indi9uenr
<)e
la malignip!,
coac. pr<tnot.
cap.j .
'1·
n°.
4t·
cls a'nc¡oncen t une m9rt' procháiñeau
·phrénérique qUI en efl arraqÚé,
ibid. tap.
ij.
nQ.
I6.
Les
mou¡;.rnens (pafinodit¡lltJ
[on't,
!uivant
1/obre.rva~
t ion de R iviere, riwjns'
dangereu~
au comme?c:en;¡eot
d 'une
mal~die,
que lorfqu'elle efl
p~rvenue
a
l'état
fixe; n;¡oins danger,eux aulij dans ,les
enf~ns
que dans
les
adul.t~s ,
& daos les femmes que dans les l)ommes .
H ippoc.rate a remarqué qu'elles y éroient beaucou.11
plus .fujett!!S ,
· ·
·
·
' ·•
' ' ·
11
y a moins
a
craindre de la fievre qui furvient aux
¡onvll/jionr'
qt¡é des
cen·vul/ions
qui furviennent
a
la
fievre;
Hippoc. ophvr.'
26.
IÍ#.
'!f.
i.l arrive n;¡erne (ou–
venr que· la fievre diffipe
tout~s l~s
affeélions
(pafmo–
tliqlles, aphor-:-
)7·
lib.
¡v.
'cepec¡danr'lorfque les
t'OII;
plllfions
arrivent <)a'ns le cours de ' la fiévre ; '& ·qu'el–
Jes ·di(paroi{fenr)e
m~
me ,.our, elles .font cefTer la ñe–
vre le meme jour ou le eciden;¡ain, ciu le fur-lende,–
main
¡
mai~
íi elles durenr plus d'un jour ,' elles ·de–
viennen~
U!)
n¡~uvais
figné,
[OIIC. pr<tnot.'
lj.
n°.
230.
Les mouven;¡e:¡s convulf¡fs lohc les avant-coureurs de
pluíieurs
' malacpe~
;'
~
Sydec¡ham a remarqué que· les
perites véro)es
~ui
en
érqi~nt
précédées 'dans les en:
fans; ·ét9ienr
óí-~~nairement l?éqig~es ~
cjircretes; le§
reníions
JPafmodrquu
du 'dos foc¡r, fuivanr Waldrchi–
mid', 'familieres aux hnl<Jdes attaqués de la 'perite vé–
role, de la
roq~eole, ~
des- lievres péréchiales. '
· Les iurer.ruprH?ns pe ·voix
fonvuljjves
qui' 's'?bfer–
ven,r dans qudques
fie~res,
annoncenr la fqlce,
oc
un danger 'prellanr,
Hrppo(r, coac. fr.enot. u¡p.
.j)(.
"
0
•
~·
· Ja
difloriiqn.fp'Jforodiq4t
du nez, des fourcHs ;
des yeux. ou des levres. en un ligne mortel dans les
malades déja afluib[ls,
id. ibid. cap.j.
n~.
74. '
le rer–
ticule \ lroit ' refroi<li, & dans un état convullif, four:
nit le;
'!le
m~
prtrage
1
ap!Jor.
2.
lib.
r
u¡.
.
' Qn doit 's'atteodre
q~'il
·(urviendra des
fOnvuljionr
ou
f!ZOU¡;tmt¡u fiafinodrquts
t!'.
lorrque dans uri
uJéer~
fitu é aúx ·pareces
p'oll~rieures
du corps
1
les humeurs
viennent
fo,
dirparo1tre,
apbor.
6s.
lib. '
V.
2o. .
Apres
de~ · veill~s
opini,hres,
aphor:
I S.
lib.
f ll.
3"· f..,orf–
que
d~os·
le coufanr d'une ·maladie' les
y~ux
s'o()rcur–
cironr'itvec défaillance,
coac,
pr~tnot.
ij.
11q.
'1fs·
4°.
Lq~fque
les délires ' [onr violens
&
variés, ou joinrs
avec une ajfeélion foporeule, fur-rom íi un fri{fqn
t¡C–
c:upe
'alor~
le . cou
~
l,e do! ou meme 'tour le corps;
dans
ce~ ccrconfl:ance~
les urines que le ma lade rend
conriennenr beaucoup de
' pell icul~s
1
o u· !ont
num:
~rlln;.ufi.s , ~l'~l'
.•
r." .
s?.
J.?an11es
mala'die~
long
~~es,
s'iJ
parólt !ans rac!on apparente quelque rumeur coiirr¡;
narure daos le bas-ven'tre ;
coac: pr<tnot. ca!>.
ij.
n°.
8-u:
6".
Lorfque daos les 'fievres l'haleioie' efl: dera–
gr~able,
apbor.
68.
lib.
IV
7•.
Lorrqu' un ivrogne
deyient rour-·a-coup ·muer, i) meurt bten-rllt apres
dans les
COIIVII/jions,
a-moins f!Ue la fievre ne foit
ex~
~itée;
ou q'ú'il ile' recouvre la 'parole au momenr que
l'acc~s
H'iyrogn_erie efl diffipé, o u que le vio efl 'cu–
vé,
ap!Jor.
S·
lzb.
V.
s•.
A la ruire des douleurs de
-t~t\!
·acg'úes, &{des· pef.1nreurs avec erigourdiCiemenr;
~oac.
pr<tiiOt. JV.
11°. 12.
9<.'
Le's femmes c¡ui fonr at–
tacjuées
tle'
fulfocarion de matrice ront
rres-[uj ette~
aux
con¡;u/fiq¡¡s .
Dorcas 'en fournir un exemr.l e;co•c.
pr.erzot.
c~p.
XfJV .
11°.
44·
Elles ronr plus rares &
p lus dangereufes dacis les hommes qui o nr pafTé
l'~ "e
de fept ans,
cap. xjy. nP.'
u .
' ¡ó• .
Les
co11vuljioru
fonr
annoncé~s
eh
e-L·
cerrains malades inquieú, rrem–
blans, par des perits abfces aux
orei lle~· ;·
auxquels
fe
j'?,_int
11~e mauv~ir7 ~ifpo~rior¡,des
·premieres
1
voy~~
~-~
. .
.
.
·
Le~ m~laqes
atraqué> de
mOII'i)tJIJei/S. fia(lllodir¡llu
do'nt les yeu onr beaucoup
il
1
éclat; ioc¡r hbrs ·d'eux–
m~mes,
&
nfqpenr d'l'rre long -rems malades,
cap.
¡r;:p.'
n
1 '
S ~
l_a racirurqiré peqdant les
c~nvu!/i~ns;
efl
d'un
ñ:t~uva.'s aug~re ,
f¡ _j:ll_e dure !oqg rems;
lj
elle
fe qiCI¡p,e btec¡, t(lr, elle cqdcque la paralyíie de la lan–
~\le,
pu
bras .~u d~ ~~ré
droit,
~
0
:
13.
Ceu~ ~ui
[ont
5
P A
.~ttaq11és ~e "!OIIVf"!~nJ
cg11vr•l/ifi
n)e\lrent .en
·9!J3tré
JOUrs, s'1ls _palfent ce rems tls ,reviennent en
:¡~nté.
~pl;or.
5·
Ir!..
VI.
!,.a úevre aigu" qui
,r~,~rv-ieot
JIUX
JP.af"!e!
les
f~it
ce(fer; !} elle exiiJ cr aup4ravanr, fon
.redoublen;¡em produi.r cet
e~er;
le fon,HT,Jeil, .le col,!rs
.~e
ve.1,1rre
~
une
e~crétion aboQd~ote
d'urine virr#e
pa~vienne9r
au ._vél\le b\lt; mais les
,co.,vuljfons
fou–
dames ront
rermcl}ée~
par la ljevre
~
le c,levni¡:n;¡ent,
,COifC. pr<tnp_t. .
c~p
JfJY·
~~-
n .•
Quelquefois les
~ou
ches d',eau froyde fQ!It ddparocrre !_es
.fPafozu,
fur–
t<;JUt daos des
) euc~es
g-e\'s robu[les,
~
)Oui!lanr d'ail–
Je\)r~
d'ul)e
·boo¡9~
fal)té,
'!Phor,.
21
o;Jf
:¡.s, .
.lib. V.
P\1/S
fQuv.ec!t la c?ale\)r ran:Iollir lJ
pe~ u_,
calll)e .les dOl,l–
jeurs
~ \!.~ouciJ
les
cQ.,'PIJifjol}s
1
1b.1d. aphor.
22.
Ga~
)jen
~ prouv~
par l'heureu,!e
~xoéri~nce
qu'i)
~ f~ite
Jl!r
lui-m~me,-
que riec¡ 1;1'eU
ii
eff,icace dans
p~rl!ii
C$s
q_ue de
répandr~
rur la pa rtie attaquée de
mor~ve111ens
}Pffinodiquu ·,
' de l'huile <Jouce bien' chaude . Oans les
' femmes 'l'éruptiQn
<,I~J re~Les
.refQut
(ur
le champ
.les
.!P'
!fi.nu;
il
~rrive
quel,quef·¡is qu_e, ces
11Joupe11Jt!ls (p'lf.
modrqrur
l~llr fot;~t
9
Un gc·and
(eco~rs,
lori9u'érant
enéeu¡tes
1
.
ell.esfo c;1t
iQcou¡n;¡odée~
de
~oule;Urs
de
r~re
gravarives , avec
un
pencl¡~or
infurn¡ontable ay fon)–
meil,
coac.
pr~tnot.
cap. xxjv.
fl'!.
21.
&
24. ·
· Le fri,floci ,le vomi(lemen,r; le l)oqc.iet,'l'érernument,
,&c.
érac¡t
de~
erp_eees de
mOtJ)ltrj1tt¡s fia/i¡¡prjiqtfts,
fournifTent auili dclférens fignes qu'on
doit
troover
qét~illés ~
Iéúrs
articles p11rtic'!liern'
nc¡m
c¡'ajo·u~e
rons qu'un mor' par, ra¡Jporr a l'éren¡urr¡enr
1
pqur
fuppléer ce 'qui manque
a
cet
a
nicle.
L'~ernument
1
fur vimanr a
u
hoqtiet ;· le
fa
ir céder
rour-de,(~¡ire
Hipp.
P,P!Jor.
q .
liv:
VI.
ll
efl ires-avanrageux aux fúnmes
itttaqt¡ées de' va'peurs'
&
a
'cell::s qui ne peuveiÍt ¡¡c–
cc¡ucher,
ap/¡&r.
H.
Ji/¡.
1/.
&
(¡
pr~pre
ii
chafTer l'ar–
riere-falx ,
qu'Hi ppocrat~
confeille, dans ces circon–
fiancés, de •doriner un fle¡nura;oire,
ibid. aphor.
49·
U~rer'numcJit
efl m'áuvais dans routés · fes alfeaions
de
l~
poitrine,
(o
ir qu'iJ les '.accompagne' ou qu'cl les
pr~c_ede
¡
(;!u _iefle
il
n?efl: poiQt
défavor~b~ ,d~r;ts
fes
aurre}
maladJe~ .
toac. pr.¡fnot. cap. XOJ. n. .
H ·
R i–
v¡ere .rapJ?Qrte ,' d':ip res Fi¡reflus, une
o~!ervati
n
íin–
guliere
ft,~r l'é¡ernum~nt,
il afTure <
J.Uef¡ un
~omwe
_n¡alade eternue ' uc¡e fe 9le foi$
1
il !uccombera silr$–
me#r a 'la yiqle?Ce de' fa m'a[adie
1 '
& .
en.
rech~poera
fi)
é~ernue
deux 'fois; l_e
t'Qntr~i¡e a~rive
a
la f_em-
1)1e, un éternument lui anuonce pu
pr.~pare
une con–
'valefcence '¡úc¡chaine', & ' fa more '
e~ · 3~u ree'
apres
deu'x érerr¡umens .' Le fait a(lurécnent mérire bien d'e–
rre' vérifié plus d'une fois,
~n
atrendant!
fi4u
jit
P.~-
nes
ar~flor~m.
(m)
'
· 'SP
.l).'f
ARA ; (
Géog. p1od.
~
perite
ile
de Lacqnie ,
fameu(e aurrefois
fou~
le non¡
d'fle de .Cranaii ,
ou la
belle H éle!ie
~ccqrda
(és
pren¡ieres
'fay~Lirs
a
p ,jrís
~
St~:C
le 'rivage
do?
la rerre ferme qui
e!~ vis-~:vls ;
cet
.~eur;u'f l!-IJ!a~t
lit
b~ri.r
·
apr~s
fa ·conguere;
ury
r~rñ
ple a
Y~c¡~~s ,
po_ur
marqu~.r ~~~
franlpq: rs de
fa
¡qie
& de fa reconnoJffance.
ll
donna
a
cerre V énus le
furnOI)1 '
de
Migonitis ,
& nomm.\ le
rerritoir·~ .
Migo':.
•rio11,
qu "?<?t qui lignifioit l'amoureux myflere qui
s'y étoit pa{fé.
Ménéla~,
le malbeureux époux de
cerre pril)ceife,
~i~:~u'i r
ans apres 'qu'ol} la )ui eur
erylevée, vint yifjrer ce temple , dqnt le l!Oilin1ge avoit
~té
le témoin
de
ron malheur
&
de l' infidélité de
~~
fe mme.
11
n'ofa poinr"n¡iner cer édolice Caeré; mais
il
lit mettr¡; aux deux c8ré5 de la flarue de V énus
les rab)eaux de deux au
rí-e~·
déefTes, celle
d!!
Tl¡éiis
,&
celles 'de_f vaxidice , _la ·.1§ell_e des' ch4 rimen_s,
po~r
monrrer qu'cl ne lacCierocr
¡an¡~cs
Con affrqnt cmpunc;
cependanc il n'eur pas' l'avanrage
el~
· íe voir ' veneré
d' Héle'ne . Cerre !:¡elle Teuye lui fur y6quir
¡
il
efl
v~ai
qu'on
pr~rend
·que daos
fq~ ~erqier
refuge
a
Rhodts,
P.oli¡¡Q eur la barbarie
d~·
la
f~ire
'penilre
i\
un ·ar–
bre, loio' de l4i accorder· le dl'Oit d'aíy le" qu' elle
)ui de
1
voic con¡rr¡e
¡nalhe~reu{~ ~
con¡n¡e
p~~~~fe.
{
/).
.
)
.
.
SPATH, SPAAT,
ou
SPAR,
C.
m. {
Hilf, nat.
Minéralogi~. ~ {patr~m, n¡11rm~r lf!Nafli~t¡ar ;
le mor
jpatq
a
été mm¡duir par les
n¡cq~ral g1~es ~~~~ JTJa
d s
·&a
été aq pté par les Fraotc;ois: Les _Angl
i~
dtient
forrrr,.
O n
~f¡gc¡e
rous ce nor¡¡
uo~ P"~rre
calcaire
'{lfl~z
' peranre , cqm o[ée de lames ou de feuillets
q ui ne p¡:qvent re plier' & qui font
rant~t
plus tan–
tOt m ins feolibles
a
l'ce;¡ ; elle fe dtfTour avec ef–
fervelc~il<:e
'4ans 'les acodes; elle fe brife & pérille
dans le fe
u,
fes
!~mes
y perdent leur liairon,
&
en–
fin elle
~·y·
change en une vraie chaux; en un mor,
le
{pat!J
a roures les pro ric!rés des pierres
~a!cai~es .
Voyez;
r
arti<
G.UCAIJ\.!S '