HIM
H I L LE'
(Glog. )
ville d' Afie dlns I'lrac-A n bique'
elle en eJlue Ih)tdat
&.
Couf., •
79· 4f.
de
long.
&.
i
31.
fO.
d~
lat.
{,¿ue\qucs voyageurs nommem une Ce–
cvnde
Hilll
daos' le
m~me
pals Cur le Tigro, entre
VaCet
&.
Batrora . On parle d une troifieme
Hilll
en
PerCe, dans le ConreOan,
&.
d'~~e
quatrieme dans la
Turquie Atiatique, aupres du 1Vj.0Cul, ou !'vJoutrel '_
( D .
J.)
.
H
1
L L
E V
ION
S,
¡;
m . pI.
(G/og. allc. }
ancien
peuple de la SeaudlOavie. Pline,
liv. [Y . (hap. xiij.
en
parle eomme d'uoe 111tion qui habitoit cinq eens villa<es.
C'étoit la premiere
&.
peUl-~trc
la Ce"lc dc la Seanlioa–
vie, que les R.omains eonoutrent de fun te
m, .
lis oe–
cupoiel1t apparemmem u!je paCtie de
1>
Suede ou foot
les
provinees de Sehooe, de Bltkiogie
&
de Hallaod.
(D.
J.)
HILOIRES ,
lLOI~ES ,
AILURES
I
C. f.
e
Mari... )
ce Coot
<le<
piece' de qois
lon~ues
&
u ron–
elies, qul boroem
&.
Coutiennem les éeoutilles
&.
le cail–
lebotis, eo forme de challis.
Yov«;
Pltmch,
V.
n
Q
. 77.
les
hiloires
du prcO}ier pOOl. N'> .
111'
les
biloires
du
Ceeond pont.
D aos un vaitreau du p'remier rlog, ou de quatre-vingt
pieees de canons, les
h,loires
du premier pOOl au milicu
oot lleuf pouees d'épaitreur,
&
onle de largeur ; entre le
milieu
&
,le eÓté,
ette~
OIU huit pouees d'épairfeur,
di ~
pouees
&.
demi de Iargeur.
Les
hiloires
du Cecond pOllt au m ilieu 001 repl pouees
&.
demi d'épaitreue,
&
dil pouees de largeur; eeu< eo–
"e le milieu
&
les eétés, fix pouees
&.
demi d'épairfenr,
dix pouees de largeur .
'
L es
hiloira
du teoifieme poot, des gaittards
&.
de la
duneuc , dimioueot proportíooneJlement .
(Z)
HILPERHAUSEN ,
(G/.g. )
vilte d'Altema–
gne el) l'raneonie , Cur la Werra,
-u
eomté de H eo–
neberg , entre
Cobour~ ~
SmaJcnlde; eJle appaCtienr
:l.
uoe oraneoe de
la
matCon de Sal e-GotOa.
L ong.
28.
t
f .
lat.
fO.
3)".
(D.
'J . )
,
H
1
J.,
P
Q
L S ,... E
1N, (
Glo~.
)
petite viJle d'
A
Jlel11a–
goe en franeonic, daos le IJ!rr'¡toire de
la
vilh:
d~
l\I'u,
remberg.
H 1M
ANT O P U S,
l'.
m.
(f-{i{/. nal. Oynitholog.'
oiteau
~quat¡que;
il
r¡e
mange point de poirfon; il a le
delfous du eou, la poitrine
&.
le velllre de-eouleue !¡lao–
eh~,re;
les eÓte!s de la tete Cont de mémc eoulem au –
delfous des yeux; au-dtrfus il
y
a une eouleur noirl tre,
q q)
en aulli Cur le dos
&
Cur les .'Iles; le bee en ooir ,
ji
,:0
IOllg
&
mioe., cependant I'oileall s'eo Cen tres-a–
qroilement pour faire Ca peoio d" cheoilles
&
d'autres
i!!Ceéles . L.a que"e en d'uoe cOllle"r ¡eodrée blanch'tre;
il
a des taches n ires Cur le derfus du GOU; Ces alles font
Ues-Ioogucs; la longueue de Ces euitres
&
de Cos janibes
,::0
exc.ellive; elle COO< tras-déliées, treS foibles,
&
d'~u~¡nt
mojnl arfurées , que le pié n'u poim de doigt en at–
riere,
&.
que
ccu~
d" devam ¡¡"'t eonets en eomparai[on
de la 100lglleur des jamles. Ses doigts o nr une c"uleue
de fang , Gelui dl\ m ilien ell lIn peu pl us loog que les
ameos
¡
Ces ongles COIl! noirs , petits,
&
un peu courbes.
Willug.
Omit.
Voyn
O I S E
A U .
H 1M E'E,
r.
f.
(L.iltbat.)
c'dl le 110m que les
Grees donnoicol
il
la "hanGln des puiCeurs d'eau; ce mot
vi~!lt
de
¡""',
pu;¡.,·.
Arlllophane el1 parle eomme d' u–
Jle ehan[oll qui n'ttoit que dans la bouehe des perCon–
nes le, p.lus viles; ear pour ,eproaher
i
q\lelqll'\In un
ch.ntd~
mal\vais ¡:oilt, il lui fuit dire,
d1uu av,>;-vous
,ris 'elle GhanfQn
d~ tir~ur ál~au?
La chanfon des
mell–
niers porte le mémc nom de
him¿,
d.nsAthéoée
¡
mais
E lieo
&.
PQl\ui Jlappelknt
Ipimlllie,
d~
"'.",
" I<ulo,
on
",o"fi".
Qo
C.itq(,e
pl\lfieur~ profelli(ln~
daos la Greee
avoieo!
un~
.Cpeee de ehanCon qui leur étoi! l'anicuJic –
rcmem coo lacré•.
170.)">;
C
H
á
N
So
N.
(D .
'}.)
~IMERA,
(G/ag.
anc. )
ancienne "illede Sicile,
fur la tive leptent.iooale de l'iOe
~
gauche, c'en-a-dire
au co uehant de la riviere de 1l1cme
0 0 10;
elle avoit été
trcs-t!orirrame ;
mai~
le Qarrhagiuois, COl\S la cooduite
C!'
Anl1lb.I, la Caeeasereot
31¡r~S
un liege dOllt
0 11
trollve–
ra les détails daos D lOdor. de Sicile ,
/i v. X
f!l.
chapo
I.ú¡.
lI y
avoi! des blillS falT1euK au eouehalll de eette vil–
le,
Him~r~ Ih~rl1ta: ;
ces
baills
devinrent
une
vil1 e;
Sr
e'en rur ce pié-ta que Ptolom ée les Ilommc . C ieeron
1)ous apprend,
m~lOe'
eomment eetle ville ro fo rma ; ce
lieu s'appelJe encare aujourd'hlli
7'<rmini,
&
les ruinos
¡le la ville
d'/-limera,
e.mpq di fa..
N icoJ. ;
la r'viere
d'
Hin,lra
fe nOlnme
Fi
/l.megrafld~
,
Le poete Sléfyehore étoit d'
(iimlra;
iI
fut aior. nom–
rpé pour avoir adapté la maniere de la danre au. io–
arumens, ou au ehceur rur le théatre;
iI
fleuritroit dans
111
'l!laraote-del\Kieme plympiaqe , c'ea-a-dire 610 aos
romo ViII.
fIIN
..vant
J.
<3.
iI
mOllrut dans
11
cioquame-fit ieme 01
m–
pi.de, CO"S Cyrl\s, roi de
Per.fe.QllimilLen di.t que
It–
Cyehore avee
fu
Iyre , CoudO{ le p,rids
.~
la nobleÚ. du
poeme épique. D unys
d'Halyearnatr~
tUI
d" "ne les grao–
des qualite!s
&
Ic~
g.races de Pindare
&
de S 'monide;
Con IlyJe
él
it plein
&.
majenueuO( ,
St'!V,h.y; gya<JtJ ,a–
m<En",
,
Cuivant I'cxprellioll d'Hor3ce. Pline aloil!e, que
eomme Srt Cych re étoil encare enfant. un ro ffignol .vi,,[
chante,' ru r Ca l¡qucbe . Gn oe pouv"it le I..üei plus de!–
Ii,entemecr.; mais le r.ems UO\lS a ravi les ou.vragC's Ele cet
:umablc poete
1
iI
ne nOlJS
ea
rc(t:.c que
Jrente
ou qua–
r.ame
v~rs
1
qui De nous
permettent
p'lS
d'en
juger,
Sa.
patrie lui
érige.~
une tees-belk O. tue; Doo-.feulemcot
i
eaure de (es ta!ens
d.osla poélie lyrique, mai, plus en–
care poor aVale préCervé Coo pays de I'erc\avag<:. Cet–
te
vitle
re
trouvant
en
guer,re
3vec
fc's .1/oiCios, .Qvoh jm–
piaré
)'~II~l)ee
de Fhalar;is,
&
lui a.voit donoé le <lom,
m aodemem de fes troupes, avée une autoritt preCque fans
borncs . S téCyehore tlcha de dttouener fes com patriolel
de preodre ce partí,
&:
leur ·,.aóli'a qu'autrefois , le ehe–
val étaot cn différeod avee le eerf, ent recolUs
i
l'hom–
me, qui vúitablement ie veógea, mais luí ,"vit Ca libet–
té : le HiméeéeDs eomprirent le fens de I'apologue, re–
merderem
&.
eoogtdiercm Phalaris. Tel fut I'effet de eet–
te fable iugéoieuCe, qu! Horaee , Phedre
&
la Fontaine
ont
fi
heureuCement miCe en vers ;
/¡t~fichore
eo fut I'in–
l'emeu¡'''''
, ..
.....
J 'oubliois prefque de Jire, qu'
Himlra
patroit pour avoir
vil oaltee la eomédie; ce fut dans Coo Ceín, fi nous el}
eroyoos Silius
h~licus,
&
Soli"
~pr<s
lu5, que ce Cpe–
dacle .muCanl parut ponr la prelT1iere fOls . Ceue vIlle
eO peu de ehoCe aujourd'lmi;
Vol~leeao
alfur.
pourt~nt.
que de
COII
tems
00
y voyoit encare uo th.é3tte rUlOé;
les reOes d'un aqnédue qui étoit d'noe eieellente ma.
t;Qllllf,rit?; plufieurs autres monumcns antiqu<;s,
&
quan–
tilé d'lnCcriplioos que I'on pell! lire daqs cet auteur _
( D .
J , '
. .
-
H
I
"l
R A,
(Gr!og.
IIne )
r¡viere Qe 6idlc;
iI
Y
en
'VOlt denx de ce nOm l' une fue la e61e Cepteotriona–
le,
&
J'~Ulre
dalls
la
e('¡'le méridionale, ce q ui doit s'en.
¡endre de
I~urs
embouehurcs; tomes deqx ont
~eurs
Coue–
ces dans les mémes
111nlHagncs ,
que
les anc ..lcns
11~1n
....
moient
mhro4u '
&
leurs Courees oc Com pos a une heue
de di(tance l'une' de
fiaor.tc, L'
Himlra
méridionaJe s !\p–
pelle aujourd'hui
Fiu",.
[nlfo ;
l'
!iimlra
9ui eOl\le vers
le N ord Ce nomme
Fittnu
~yand, .
(O
.1.)
H1MMELBRU C K,
(Glo~. )
vill.e d'A Jlemagoe eo
'\Venphalie, dans l. principauté de
11(1
",d<1l , [ur une pe–
lite riviere qui Ce jelte dans le WeCl!r.
HIMMELSTEIN ,
(Glog:. )
petite vitle de
Boh~me
daos le eercle d'ElobogeD, ou
iI
y •
des mir:t es .
• HIMPOQ,
r.
m.
(/-l;{/.
moJ)
IU e crimmel }lla
Chlne, rno tribunal ea un des tCibunaux. [ouvcraiOs •
L'h;mpolI
réfide
a
Pekio , eapitale
d~
l'empICe.
.
HIN,
r.
m.
(f/i{/ ,
. nc
-'
I~efure
oreufe
d~
aoeiens
Hébreux . C'éloit leur deml-bolrfe.u ou le deml-{cab, ou
l. flx ieme partie du
hath.
1J
tenoit quatre pimes , eh\lpi,
oc, demi-Cepti.r uo POrfOIl, cillq .p'll1,ees eubes
&
un peu
plus .
Y.ynBath.
Oiélio"n.
d, 1"
B'¡A~.
.
l,e
demi-hiTl
étoit de deu. pime<, demi-fepuer, uo por-
fon c!nq nouees cubcs,
&
)9 ,oS6 '
dI; pou¡:.. cl\bes, me-
,
r
, 0499 '
fure de Paris , CeJon le méme aUleur.
(G)
HIN D O O
( G{ug.)
vil le des lodos , Cur la route–
d' Amadabar • Agr.! dans les e!t3tS du tvlogo1 , remar-,
quable par Con exceJlent indigo.
L ong,
100.
lat,
~6.
30,
(D .
'}.)
HINGISCH
r.
m .
( fitjl .
nato
B oJ. •.
~ot.)
0010 per–
Can de la plante 'd'ou déeonle
l'affa ¡",tida .
1,e eélebee
Kempfer la earaélériCe
h'l1~ifch
nmbeJlifere , approehant
de la
liv~chc
a feuilles braochues eomme "dles de
I~
pivoioe,
~ gra~dc
tige,
i
graines fcuiJlées
1
uues, droites.,
Cemblables de forme
¡¡
eelles de la hereo, ou du pan3ls
des jarqins , plus grandes eepqild, nt, p!us. noires ,
&.
eao–
nelées . Mais vous teon vore. la d.Ceriptlon eompleue de
I'hingifth
au mot A s s '"
F
OE
T
IDA .
E;lle .n.'érile;oJt
ectt~
plame de porter lo nom de
K,mpf<Y,
pUllque c d i
lui le premier '1ui nous l'a fail connoitre.,
&
qu' il [o
détourna
ej.nsCes voyages· de
40
ou f,? l':llllos d: che–
mln, pour en pOl\voir. dOilner une tuOolCe véCltab!e.
(D.
].)
HINH-PU
C.
m .
(f-{i{/. mod. )
c'ea le nom qu'on
dDl)ne
a
la C hine
a
un tribuilal Cupérieur qui rélide au–
p'c;s de I'empereur .
1J
ell
char~ó
de la réviliQn de tnus les
proces crimincls de I'empire) d!lllt
il
ju~e
en
dernic:c
reC–
[or! .
11
a Cous lui quatorle tribllnaul rub.lteroes, qui ré–
lideot
d.oschaque 'peoviilee. Nnl C hinois oe peut élrc
tuis
a
mort fans que fa [e,ntenee ait tu! Clgo.!e par I'em-
y
1,
p.rcur