1000000039

HEP

H E'P H T H E'M I _1 E RE, .d!

(LIIt.)

lCmIe

poéfic

r("loc

ti.

laLoe, qui

I 1'00:

efp:ce de

cun~f4!

1'':Si'"

U1C1)'lb!>e ; c'el·a·d,re el" Cepl

deml·pi<!'¡.

l''1n.

\'~&),

Pr•.

Tel¡ W I 12 pl(!¡>11t

vec> d'Arucrt'OI1:

13".\

"¡.on

'".,11

\/e,

el....

J••

l.;"

.&c.

celui d'Aríflopbaoe, dms

CJo

PlolUs:

les .ppelle :mm

'rir."tr" ctlt./,Oi'l"rl.

C~Cure

blpbt/mi.n".

ell une ctjure que I'"n me! la

trouieme pié, c'ell·.· di,e

Cep,ieme dom'·pie!.

V.r'z.

s u a E, C'efl une

re~le

que

~u"

Cyl1abe, qunique

breve, Coi, loogue. cauCe de 13 ctCure, ou pour qo'dle

foil

blphlhl",;,nt",

comme

Ce vers de Virgile .

fl4riis

.1;Jtltu.J .m'J"

COII!ÚIJ virtul.

Cene céCure ne d"il point

~ue

.u ciDquieme pié, como

me en celui·cj que M.

H.lI

ris donDe pour e:emple ,

//lt lallll ni1}'''''' molli [lIltll1 hyMi"tho.

Ce o'efl poinl une ciCure

hlpheh/mim." ,

m.¡s

h",,,I·

h.mim,,,,

c'dl·¡·dire

"~"f

d,mi-pils. D tllio. n. d,

7rlv.

(G)

HE P P E N H E 1M,

(GI.g.) Api"",,"'

pelÍte ville

d'Allel}}ngne dans

l'éle~oral

Moreuce, entre Heidel·

berg

Darmrladt.

L o"g .

16.

lf .

lat.

49. 39·

(D.

J.)

HEPRES,

(G/ogr. )

riviere du comu! de l-Iainaul,

qui prend Ca Couree prés de Chimay,

qui tombe daRs

Sambre

pr~s

de Macolles.

HE'PTACOMETES ,

m. pI.

(Glogr. ane.)

peuples qui l:abilOient les b:>rds du PORI·En\in .

les

~ppcll"it

.llm

~loffi"i'''1

\ paree qu'ils .voienl des 10U"

de bois;

du nombre eJe leurs Cepl villages

forma

le 110m d'

U /pllleom.etJ.

lis éloieut, Cuivaol Stmbon,

J'ellrémilé du mo!)! SeydiC;"s , (urNrUoicnl IOUS les au·

tres barbares en f¿r.oci,é,

dcmeuroicnr

d.os

de pedlcS

tOUr> _ l is le nnurrilfoienr d'animaux C.uvages,

len·

dOÍ<1Il des embílehes anl voya¡;eurs. lis mallaererenr lrois

ohorles de P"mptc, qui P.:'lfoienr par lellCS

mnota~oes.

POnr cu!e"I.r ce projct, ils leur

tirc~1

boi", d Qn bre',·

vage fuil avec uoe COlfe de miel tiré de ruches ele Icor<

arbres,

les aynnr aiofi ellivró ou rcn<lus Coos, ils n'en'

rellt

p~s

de p'elOe :\ les é,orger. Pomponios

61a r.p–

pOrle qu'j¡' Ce

rOn!

des marques Cur lour le COIps,

s'x·

couplenl indill'éremn¡elll en public , Ce choifilf,:ol leur.

r~is

por voie dF

Culfr.~c,

les punilfenr par

j ülle,

s',ls eornmcllern une /aule en ord,

mll.nl

qu.lque ch" Cc

mal.:l-r,ropo . V,.,ilil de> barbarcs bicII élrao)\es!

(D:']. )

HEPTaCOROE,C.m.(Mllfi'l'"

alfe.)

lrreoo

cylhare

Cepl curde., Ce

fUI

long'lems la plus el) ulage

la plus célebre de

IUUlCS:

néa"moins qu ,iqu'on

trouvi, los lepl voix de 13 MUfi4U",

1'(J~avc

y mall'

quoi, encore: imonide I'y 11l¡t, Celoa PlillC, en yaJt>ü·

lant une huillcme corde, c'e!l-a·jire en lailfJnt un Ion

enrier d'inrcrvJllc entre k dcut ,étrae,)fdes . Ainfi, dJns

le Cyrlcmc <lc I'oa.corde ou d. I

'oa.ve

che? les ao·

ciens , les Cons fe

trnuverell~

dans

fiu¡alioo l. plus

favorJble

une harmonie

r¡¡~lc,

pIcioe de l10blefTe

de dign'lé, é,ant é ,alemenl

r!lolgn~s

du Irop grave qui

les rend lour.!s,

du Irop Bi!;Qqui les reod glapilfBllS,

plus foíbles

moin'

percc~c'ble, ~

I'orcille,

Ccpcndq~t

cene nol¡lc muriquc n'cUI plS le b"ohcl1r de Ce fOtltenrr

on vim • mu!ti"lier les fQPs

l'digu; car

d~ns

I'hendé–

ca,'orde ou la oll'l,icme,

dans le dodéc3corde Ol!

douzieme, on rendil le CyÜcmc

h,nn~n'que

plus mOll,

pl,,~ eflC!m,"~,

plus allongé;

c'ell - M élanippide que

Plurarque accuCe d'avoír ':nc¡v'! la Mufique p:¡r Con in·

venrion

des

doule cordes. Ma:s le cal.aere de

poé·

/ie dirllf'rambique chanté Cur les lilOs

les mojes les

plus aigus, s'accurdam

lI1erveilleaCem~nt

avec ceue nou·

velle lIIufiquc, coocourul 3yee elle!

déo!~Jiler

flire

méerili:r l'ancienne.

(D,

J.) -

HEPT A GON E,

urm. de Glomlt,-ie, 6-

g.urc compolée de Cepl angles

fepl cOlés .

I/oya

flGURl!:.

Ce mOl ell gree

compor~

d';n.L,

¡epe

, ,..,1. ,

.,,-~,.

Quand IOUS Ces CÓI.!S iont égaux, on l'appelle

¡'¿pu,

"O", rlglllitr.

f'oy'z.

R~GULII:.R .

Les numbres

¡uptago"'1

CuDl des nombres polygones,

la din'6 cnce des lermes de la progremon arilhméli–

que correCpondanle en cinq.

VOf<1W

POt.\'GONE ,

HEP

111

l:ncre pla6ean

pro~riélé<,

le nomb'e

b'pt.{

en 1

on:

alr.~ rem:lrqlll~le,

c'ell que li on l. m JIr;plie

, te

qu'on 'Jo'1Ie 9 au proJJil,

¡"m,m

oomb,e qonro!. (

HE PT A

\lE

RIOE,

(.\I"ji¡",.)

rll en Mu–

fiq.u le

D~m d~

I'un de. i.nava!:e:< da Cr'leme de M .

S2uveur,

qU'LO

peut vo:r dl.llS les

1io11/1II"",.r.s lIk

Aca–

J¡'"i~

del

.),ien'~I, lI"n/~

I ¡Ol .

Ce! aOICOr d viCe

d'~!)()r.!

l'ocbve cn quaranreuo',

PUt:es

qu'!I 2ppelle

",¡ri/u,

pu·~

chacune de celles' ci

Cepl

b'flamlriJa:

de Corre que I'o&_c entie' e eom·

prend <rOIS ecos une

hlpla"ftritia ,

qu'il Cubdh'ue eoco–

rr .

V'Y'~

Dt.eAItRIDE .

. Ce mnr dI lormi de

;~.:,

fopt,

de ""''',

pa,...

!It.

(S)

HEPTANGULA1RE, adj .

(Glo",¡'ri• . )

Une 6-

gute

h,pta"glllairt

ell celle qui eO eomporé. de Cepl:U1'

gles .

(E)

HEPTAPOLE,

H'Plafolil ,

H¿'ta"omi", (Glo.{r.)

contrie d'E<yple, Celon Deni le

Perié~ele.

EullJlhe

Con

commeot.leur noos app

10.

qu'avaol I'empe–

reur Arcadiu

0[1

nommo

¡llJ.pt

""",,,,;

1°.

qoe quel–

'\'...·ons nomm"ient dans

I'U,plapolt ,

M.cm

,his, D io·

lpolis, Memnooie, 13 granJe

perile Catanae, SJen",

loules

!iI

firoi"s Cur la rive gaucho du NiI,

Baby–

lone plne.!e Cur l.

rive

d,o le . O'a\ilrcs eompt()ienr lU'

Iremen! les CePI ville, de l'

HtPI«po/e :

ma úns nous y

.rr~ler,

.1 Iilffil de dire que c'eíl d.n, l'tlenJ ue de l'

H.–

ptapol.

qu'il

'-.UI

chercher les principales m<rveilles de

l'Es;yple, cnmme le, obéliC'lu " le< py,am'dcs, le la–

by"nrhe, le lae de MIEr's,

'::le.

(D.

J )

HEPTARCH1E,

(H,[I.

m.d. )

~ouvernemenl

des Cepl royaumes des .'\nglo·53X1IOS; eonli lérés com–

me ne f.UCant 'lu'un reul co' p'

un Ccul él>!,

Le)

Aoglo-"aton~

élablirenr en

An~leterre

un gou'

vernemenl a-peu·pre. Cen¡bl.ble

cd li foos lequel ils

avoiel1l vécu en AlIemngne: c'erl·a·dire que Ce cOIlIi–

deranr comlt)c freres

compatrio,es,

ayanl un égal

inrt'~1

• Ce m,intenir dIOs kurs c nquct<>, ils con,u–

renl qu'iI lellr

~toil

néeelf.ire de

Cccnu,;r mUlDelle–

menl

d'ogir ell commun puor le bien de 10US . Ce

fuI dans cene vüe ,/u':ls Jugerent iI·propo' de

nom–

mer un génént

~hef,

nu,

1'0n veu[, un

monar–

que auquel ,Is aceorderem cerlaioes préngalives donr

oous ne Commes P'» bien info més. Apres l. mort de

ce général

ou Inonarqllc, on

en éliCoit un autre du con–

(.nlemenr un.nime des Cept royau'Jles: mais il

ayoit

quelqudi:>is d'alfez 10ngs iDl",re;nes c.ufés par les guer–

res ou plr les divHions emre les Couverains. qui oc pou.

voient s'dlfembler ou s'accorder fur un chpix .

OUlre ce

mooarq~e

qui lioit eoCemble les Aoglo·

SOlon , jls avoieol enCOre one

alfembl é~

générale

com–

pol'ée d.,s prioeipaux membres de; e.·p' r" y,' Um!S O'J de

kurs dépUlés. C<tte alfemblée étoit comme le centre

du gouvernen¡cltl

he~larchiql1e;

011

I'appelloit

IfTitt<Ha–

glm.t,

parl.mmf gl ,lra/,

on l1'y délil¡éroil

que lur les choles

au~quelles

10Ule

lIalÍon prenoil In–

téré!.

VDy-Z

I T T

Id o

T •

Chaque royaume a\'oit d'ailleol' un p trla-n enl parti·

culter, formé

a'peu-pr~s

de la

'n~mc

mmiere' qu'on le

yoit

pr~liqué

dans les

Cqt

provinces'u~ies

des Pay's· Bas.

~haque

royaolJ)e éllil rouvcrain,

néanm;¡ius ,Is déli·

béroicnt en common rur le a(fJir« qui

re~3(doiell!

I'in ·

léret CDm:nun de

l'b.ptArchi..

Ce \lui ecoit ordonué

dans l'alfemblée générale devoit élre exaacment obrer·

vé , puirq'le cnaque roi

chsque r 'yaumc y avoit don–

né (ho eoul<ncemenc. C'étoil·Ji la f<lrme du gOllveroe·

mem heplllrchlque en général .

4'b'j>earchit

dura

378

ans . Si I'on vouloit rechercher

le~

caoles de Ca dilf"lution, il ne reroil pos diffic,le de

les trQuver da'lS I'in¿salilé 'l.U' ,1 y avoil entre les Cept

rOylumes , d,ns le manque de prinecs du Cang loyal,

dans l'ambition des r,uverlins,

d.lI1i

le co"cours de

certaines circollfl.uces qni be fe rencomrerem

qO':lll

ICJllS d'Ecberr en 818.

(D.

J.)

HE P

A T E U

U E,

m .

(7bMogit .)

e'efl

ainli qoe fut

appell~e

premiere parlic de la bible, qui

e ,"tenoit

an..:iennt:ment,

Outre

IPo

penultcuq'le , ou

leS"

cinq livres de Moyre, les deux ruivans de Jorué

des

JUlies. Car Celan le témnignage d' Yves de Challre. ,

Ipi[l .

38.

~voil

aceo(llumé de les joilldre enCe'nble,

les cimit fou,", ce nom qui vient dll

~rt."c,

¡.,.U7""x._,

c'ell·~·dire

OI/vrag< dtl fope I,vr<l,

On lit en quel·

qucs endroils,

h~p~atiqut: , b~pt"tjef'''';

rnl1is c'cfi une

fau te d'écrivain. M, o"

"i"o'.""r.... (G)

• HE'RACLI::-E,

(Chron%/{ie.)

oomd'un

mois des habit311s de Oelphes

de Bilhyoie; e'éloil le

cinquieme do I'Jno¿e;

leur année

cornníen5~nt

Oélobre

répondoit

none février,

liEO-