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742
EQU
L"lem
t"rmant un triangle équilatéral, dont il6
íe
Cervent
¡ponr tracer des angles.
E
Q
UE
R
RE dOIll
fe
Cervent
le¡ GrflVrtlrI
&
D elft-
11.1:CJ,rJ ,
en une planche de bois
repr~fentée
lig.
12.
PI.
1.,
de
1"
Grav,íre ,
qui a deux arretes ,
11B
,
C
D,
pcrpcndiculaires I'uoe
a
I'autre;
&
un trOU
D,
pour
l>ou<'oir menre le doigt
&
lever
I",!,u rr.
facilement ,
&.
fans
coucher
a
l'encre dora les arretes peuvent etre
m" uill¿es.
E
Q
u
E R R
e u
E S
J
A R D I N I E R S,
voy.
E
Q-u
E R–
RI!
VES ARPENTEURS.
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E R R E U E S
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A
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o
N S,
voyez
E
Q.
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E R RE
j)
Ji
S
G
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M E T R E S •
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Q.
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E R RE
U .E 5
C HA R
P
E
N
T lE RS,
vo)'ez
E–
Q"
E 1<
RED ES G E'o
M E
T R ES .
EQU ERRE A' E'PAULEMENT,
(Charpenter.)
Celi"-ci ne diffcre de
l'¡'!".erre
ordinaire , qu'en ce qu'
IHle des .branches eO triple en épaitl'eur de I'autre: c'clt
par c,'He raifon qu'elle a UI1 épaulement de chaque eÓ-
1<1 .
Cet épaulement Cert
a
foiltenir
I'h!'"rre
ferme,
10rl'\}u'on veut tracer une ligne.
Voyez la jig.
10.
PI.
des OJJ.tils
dlt
CbarpmlÍer.
EQU.ERRF. DU CHARRON,
voytZ
EQUER–
R
¡;;
D E
S
G
1;'0 M
Ji
T RE
S:
i1s en Ollt de grandes
&
de pedres.
E Q
u
E
R RE,
oTltil de Graveur de poinfom
a
let–
tres,
en un IDOrccau de bois ou de cuivre plié en
é–
fjuer" (Jig.
n .
Planche
¡/J.
dt
1"
Gravllre
);
en–
«>rte
que
la ligne
A
B,
qui
eft
l'angle ou Jonétion des
del1x
parties de
l'éI!",r,e,
foil perpendiculaire au plan
ou
fore
de la pierre
a
I'huile [ur laquelle on ' la pore.
Le deiTous de
l'é~lterre
cn garn i d'une Cemelle d'acier,
<1ui glille [ur la pierre
a
I'huíle. Lorfqu'on [e fert pour
árdT<r
un
poin~on
par la face de la leme, on place le
poin~on
dans I'angle de
I'i,!uerre,
OU
on
le
tient af–
fuj eni avec le pouce, pelldant que les aurres doigts pref–
(~nr
extérieuremem
llé,!"erre.
On fait gliaer le reut [ur
l. pierre, qui ufe a-la-feis la remelle d'acier de
1"'lTler–
re,
&
la face du poinr;:oo ou la \eme ell gravée, qui
llar ce moyen e(l parfairement drefiée.
Vo)'ez
I'~rlicle
G
R
A
v
a
RED
E S
POI
N
~
ON
S A'
LE T T RE,
&
la
Jil·
JI.
qui reprélente le
poin~on
daos
I'i'luerre
a
dre[–
'ler \lui e(l po[ée fur ' la pierre
¡¡
l'huile.
E
Q
u
E R
RED E S
FE
R
'Il
f. A N T I f. R S ,
~'oye::.
E–
Q
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E R RED E S
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R RED U M E N' UI S I E R,
voyez
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E R–
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E'O M E T R E
&
@U
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H A R P E N T I E R •
EQ.UER
R E DE L'EcRI
v
A
IN,
vo)'ez
EQUER–
R
F.
Il U
G
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E
T
Ji.
E •
EQUE R RE Di': L'A R 'lU EBUSI E R,
voyez
E–
Q
LJ
E
R RED
V
G E'OMET RE.
E Qu E
R
RE,
en :erme de Fotier de terre,
e(l une
plaq ue de fer
a
plu lieurs pans, qui [ert de palrou ou de
modde fur lequel on coupe le carreau.
E Qu E R RE,
en termes de Vieri"
,
en une grande
''1
11
erre
d'acier percée d'eípace en erpace ,
&
a
biíeaux
co-dedans: elle (ert
a
meme les paoneaux
a
I"'l"erre.
EQUE R RES DES C LOCHE R S,
('JuriJprztd.)
ou
ESQVII!RS DES Cr.OCHERS
&
DES
EGL~S
E
S, lignifie, felon qnelques - uns,
I'endroit
OU [qnr
aflis les clochers; ou, [elon d'autres,
I'efpace
qui Ce
Irouve d'un clocher
il
I'aurre. Plufieurs coa mmes di–
feOl que le droit de vaine pamre pour les belliaux <I'u–
ne paroilfe, s'éuod jufqu'allX
l'fuerres
des c\ochers voi–
lins, c'en·a ·dire d'un clocher
á
l'autre.
Vo)'ez
les cou–
tumes de Vitry,
arto
ln.
Chalons, 266. Chaumollt,
arto
103.
Troyes,
169.
Sens,
14j.
Meiun,
arto
302.
&
PATURAGE, PATURE, VAINE-PATURE.
( 11
)
.
EQUESTRE, adj.
(Gramm.)
en un termedont
on (e fert (ur·tour daos cene phrafe,
patTle é'lueflre ,
q"i f1gnitie
une ftnt'« reprlfentant une perfonne
a
<he–
'11,,1.
Voyez
~
T A T U
e .
Ce mor en formé du latin
"fUeI,
chevalier, hom–
m , de cheval; de
''1ItIlS,
che val .
Voyez
CHE
V
A–
L' E R,
La F ortuue
I,!ueftr"
dans l'ancieone Rome, étoit
ulle natue de certe divinité
a
cheval. Nous diCons auf–
li quelquefois
lme
<olo';ne é'ftteftre . Voyez
e
o LO
N-
N l! .
.
Ordre 1'I'''fI'' ,
chez les Romains, fign ifioit
I'ordre
del
che7.la{iers ,
Ol]
eq¡útes. ChamberJ .
E Q U 1A N G LE, adj.
en Glomitrie,
Ce dit des
fi gllres dom les angits [om égaux.
Voyez
A
N
GLe.
~
I
quarré en une figure
¡'fttian/(Ie. Vo)'e"-
Q u AR–
R
f
U
11
JrIa~gle
équilatéral ea aufli
''1uiangJe. (7.yez
EQUILATERAL, .
EQU
Quand les trois angles d'uo triJngle Con! égaux
11M
trois angles d'un autre n iangle', 00 appelle Ce. Irian–
gles
l'lflial1gles
emr'~ux.
Vo)'ez
TRI A
N G
LE.
(E)
Le mOl
l'Iuiangle
s'cmploye plus {ouvem dalls ce
cernier feos relarif, lorfqu'on compare les
an~lcs
d'une
figure
a
ceux d'uoe aurre, que dans
le
premler fens;
I"r(qu'on compare eDlre eUK les angles d'uue feule 6-
,gure. Cependant
il
en utile
~es'en te~ir
daos oles
de~x
accepti<lns, poor évirer les clrconlocutlons, sy3m CaJII
d'ailleurs que ce mot oe falfe point d'équivoque;
~n
figure
' '1"i4''Ele
tout coure, en une 6gu,e. dOllt 1;S an–
gles foOl égaux cntr'eux; une figure
é'lu,al1g.'e
B
une
aune ou deu" tignres
,,{uianglrs
emr'elles,
(00[
deul
tig-ures doOl les angles Com égaa" chacun 11 chacun .
Peut-etre feroit-oo encore mieux de [e Ce,vir dans le
premier cas du mot
l'Itt,angulaire
(qui n'ea pas mc–
me tout
11
fair hors d'u fage )
a
I'exemple de
,!Nnd~a,,gulairt,
&
d'employer dans le Ceoand cas le mot
1-
'fui~ngle
:
une figure
é'luiangttlaire,
deux figures
''luia,.–
gl.."
&<.
(O)
EQU1CRURAL, adj.
(Glom.)
Un triangle
l r¡uÍ<rural
en celui dont deux cÓtés Com égaux,
&
q~'
<1n appelle plus communément un
triflngle i(of«le.
Vo)'ez
1
s
o
SC
E
L
E
&
TRI
A
NG,L
I!.
(E)
O"
pent appeller
¡'!,'¡erttral,
un angle, une 6gure
dont les c(¡tés font égaux. Mai¡ ce mot n'e(l plus en
u(age, paree que ccux
d'ifofcele
&
d'''!lIilatiral
y fup–
pléent .
( O)
EQUICULUS, EQUULEUS,
ou
EQ.UUS
M 1
N
O
R,
(l1ftronom.)
di
une connellation de l'hé–
mifphere Ceptentrionsl, autremellt nommé
eheval
ou
p<tie eheval. Voye"-,
O
H E
v
AL, (
Aftrono,!"
) ,(
O)
EQUIDIFFERENT, adj .
en
Arlthm.tI'ftl~.
Si daos une (uite de trois quamités il
y
a la méme d,f–
férenee entre la p..miere
&
la feconde, qu'emre la Ce–
c<1nde
&
la troilieme , on 'dit alors que ces quantités
font c<lntiouemént
l'fuidifflrenees;
mais fi dans une
Cuite de qoatre quaotités ;
i\
Y
a la méme diriérence
entre
la
premiere
111
la Ceconde, qu'entre la uoilieme
(It
la Quatriemc; on appelle ces .quamilés diCc,etemenc
l'fuidiff/rentes. Vo)'""
R A I
S
ON
&
R A
ji
POR T .
Ainli,
3, 6, 7
&
10 [011l
difcr~tement
é'luidifférr,.–
tes;
&
3,
6
&
<ji
<oneinrtement l'l"idijf¿rentes
.
fJar–
ris
&
Cha»!beN. f70yez
DI
se
R ET,
CONT
'»IV
&
Q
V
A N ',. I TE'.
Voyez
aum
P
R 0
POR
T 1,0 N
A-
R
JoT
H M
~'T
I
Q
,u
E • (
E
)
•
EQUIDISTANT, adj.
en GéDmltrit,
en un
teqne ,qui exprime la rélation de deux choCes, en talle
qu'elles font a la
m~me
ou
ii
une égale diaaoce I'ur:e
de I'autre.
Vo)'ez
DI S T ANCE.
Ain li on peut dire que les lignes paralle ks Conr
1-
'fuidijfantes,
ou
Igal,ment diftantes;
parce .que ni I'u–
ne ni I'autre oe s'éloigne ni ne s'approche.
Voye::::
P A–
R
A
L L a LE .
Harr;s
&
Chambers. (E)
On peut néaomoios remarquer
~u'i1
y acetre diffé–
rence entre
éqTlidiflant
&
paral/ele,
que le dernier s'ap–
plique
¡¡
une étendue comioue, ou colffiderée comme
telle,
&
le premier
ii
des pareies de cene étendue ilo–
lées
&
comparées; ainri on peut dire que dans deuI
lignes
paral/eles
deux points que1conques corre(pondans,
c'en- a·dire {¡tués dans la
m~me
perpendiculaire
a
ces
deu
K
lignes, COO[ toil,jours
¿'f"idijfans;
que dans deu"
rangées d'arbres paralleles chaque arbre ea
''fuidijfant
de Con correCpondant dans I'aulre .allée.
E'Iuidijfant
s'employe encare larCque dans une
mime
portioo d'é–
tendue
ap'.
compare des particules
lÍ'ruée~
a
égales di–
nances les unes des autres; aioli dans une Ceule rangée
d'arbres plantés
a
égale dinance l'un de l'autre, on peue
dice que les arbres (om
é'fuidi(Jam;
au lieu que
para/–
lele
ne s'employe jamais qu'en comparant la polition
de
dn/x
portions d'étendue diflioguées. Telles
(001
les .
différences des mots
paral/ele
&
i'l"idifla"t:
la
Gto–
mérrie, comme I'on voit, a Ces Cyoonymes aiofi que
la Grammaire.
(O)
E Q U 1LA T E'R AL,
Ofl
-E
Q U 1LA TER E ,
adj. (
G'om. )
fe dit de tout ce qui a les cotés égaux.
Ce mot en formé des deux mots latios
'"'1NUS
égal,
&
IM"s
cÓté.
Aioli un triaogle
éruílatlral
en celui dont les cOlés
Coot toUS d'une égale
longu,eu~.
Dans un triangle
1'I,ti–
latlral,
toUS les aogles Cont aufli égsux .
Voy.
TR t
A N–
GLE
&
FIGURE.
Tous poligones réguliers
&
tous corps réguliers Cont
1'f,,;Iatiraux. VOYe?
Po
L , G
o
N E,
R
E'G U L I E R ,
&<.
HarrÍl
&
ChambeN. (E)
Le mot
ét!lIilatl;al
ell plus en ufsge,
qu'l'fuilatere,
cependaot ce dermer n'ea pas eocore tout-a·
tsir
pro–
Ccrit;