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7f; H l 5 T' O I ~ '!
valoir fans honre. Milord W .•.. onde mater·
tJeJde fo' Charles,,n'avoiraél:uellementaucwt
imér~t a démeler avecle fils de fa fo:ur; mais
n'ayant point d~ plus proche héritier, il ne
pouvoit éviter d~ commu~carions dont la
crainte empoifonnoit déja fes plaiíirs. Outre
qu'il v.écu avec le pe1:e , & q,ue
ceúe difpoflrion s'étendoitjufqu au
füs, i verné de_puis la mort d~ fa
femme par W1.e m~ueífo qui n'avoit ni la
Jlaiffance ni l'efprit & l'éducation de Mad.
Oldham; &. c;ett; ui ne devoit
qu'a fon adreífe l 'elle avoit fur
lui , n'en ufoit p ire fouhaiter
le retour & l'afteél:.ion de fon neveu. Enfin
le trairé de mariage qui avoit é~ comm
Eªr fo: Thomas demandoit auJTi quelque
lidération pour er,re renoué ' ou tout-a
..:ompu. Telle étoit .la íituation des affaires de
cette fa111ille ~ lorfque fü Charles re~ut le
,coiu'ier de fes fceurs.
ll ne 1eur Út poi ponfe ; mais par–
.tant auilitot pour . il fit le voyagti
;avec i;ant de diligeú l entra dans Lon–
¡dr~ deux jóurs apres lamort de fonEere. Ses
freurs,, qui ne r.ecevoient point de [es nou–
velles , conclu~·eJl~ qu'i.l arriveroit auilitOt:
qu'une lettr~ , & T atten.doient d'heure en
teur~.Juiez' ma<;here' q~elle devoit erre
,eui: agitation al'approched'un fi:ere qu'elle~
~'ayoie!lt pa9 vu '.depuis huit ou neuf ans ~
lle qui to leu¡ furtune .dépendoit , ;m~
'iliW- .duq ~n P~f~ l.~s ayph r~préfent~~
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