. 1'U
~HE.V:
GRANDISSOM',
7J
cette i-igueur; rruús loin d'ext;iter la 'pirie
óe
M.
Grandiffon, elle fut,. tenvoyée
1
a
}'arrivée du jeune chevalier , dont on luí
lit
craindte une jufüce eneore plus févere.
Elle en a'ppella aux deux freurs, qui lui
reprocherent la
vie
qu•elle avoit menée
concre fes propres lumieres ;
&
f
ur-touc
fabus qu'elle avoitfair delaeonfiance de leur
pere' p0ur
1ui
·¡nf
pirer'
a
l'égar'-4' de
fes
en!.
farrts,
~ne
crmnlté qui
11'~tdit "Pás
dans fon
naturel.
Des
filies
íi
bien
n~e's
avoieüt caifoJ1,
fans dome, de 9hercherdes excu[es p0ur IQ.
conduire de leur pere; mais
la
malheureufe
Oldham paya pour tout,
Je
me laiífe tellement entr:tliner p·ar
1'ín–
téret que je prends
a
cett~
hiíl:oire' qu'il ne
m'efr point
~ncore
arrivé .de l'inr.errompre
l?our vous parler de
l'
agtement'avec
lequ~l
nousLvivot1s iá. Les del!X' freurs apportent
tous leurs foins
a
me faire trouver le temp,s
trop courr.Mifs Emilie me parolt charmante,
par la douceur de fon naturel,
&
par je ne
fais quoi de !imple
&
d'enfantin, qu'on ne
croiqns
d~voir ~meni1r~
..de la gr:u1deur de
fa
tailie. Milord· L..•efl:i homme aimable
&
judicieux que je vous
ai
déjarepréfenré.
Mais
il
efl: vendrecai matin ,
&
point de
íir
Charles
!
Cantorbery dojr erre une ville
bien féduifame. Avez-vous jainais été
a
Can·
torbery , roa chere
?
C'eíl: demain que miladí D.... doit faire
fa
ivifite ama tante.
Je
compre que ma letcrc
T.Dmt
111.
.
D