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cntretindirCharles des órconíhncesdc
.l~ .mafadie_ ~- de
la
mort de f
on gere. Ils'em–
:Pºrr:ª"
contre Mad; Oldham,
en.fofaifant un
:rr!omphe de la conduite q
u'il1
avoit tenue
,avec elle ;
&
rappellant tout ce qu'il avoit
a
.}ui reprocher dans l'état mi elle avoir vécu,
.il ne manqua point de relever l'obfiination
qu'elle avoit eue
a
demeurer au chatean"'
.jufq11'au derríier moment 4e
~a
vie de
íir ....
,Thomas
>
&
)a préiomption qui luí avoit
..fuir e,xiger, que'.fo.l} fceau für mis par-rout
1
avec celui de
la
famille. Sir Charles preca
l'
oreille
a
ce récit , fans aucune marque
d'approbarion
ni
de blame.
11
demanda
fi
l'
on avoit trouvé un reíl:ament ; M. Gran–
dilfon répondit qu'on avoit cherché par-tour
fans en
avoü~
pu trouver. ,Ce que je penfe
a
faire, dit alors
fir
Charles, c'eíl: de placer
les vénérables reíl:es avec les cendres de ma
mere. Mon pere, je le fais, a roujours eu
cette intention. Je 'ferai faire,
a
la mémoire
des deux , un rombeau moíns fomptueux
qu'élégant, avec une ínfcriptíon modeíl:e,
qui contiend·ra plurot une infrruél:ion pour les
vívanrs que l'éloge des morts. Les funérailles
Seront décenres , mais fans oíl:enrarion ;
&
.ce qui ne fera point employé
a
des forma-
lirés plus éclatantes, fervira fecrétemenr
a
foulager les míférables de la paroíffe , ou
quelques pauvres feqniers de mon pere, qui
font chargés d'une nombreufe famille,
&
qui employoient honnerement leur rravail
&
· leur indufhie
a
la fourenir. Ces fenrimenti