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I76

M

I

~

T

o

I ll

0

1!

pa1Iion plu's forre que la

reconnoi.IT'

ance né ·

s'eíl: pas emparée de man

creur. Je fo

is mre•

cl'une chofe, c'eíl: que mes facultés intellec–

tuelles fonraffoiblies. Mifs Grandiífon m'a '

CÜt qu'a Colnebroke mes agirari.ons d'efprir

avcient été jufqu'au delire;

&

que

le

médecin

qu'on

fit

appeller, avoit tremblé pour ma

téte. Si je me laiífois

c1Jgagerdons 11nepaffion

-

fans efp-0ir,

il ne faudroit pas d'auu-e preuve

que ma raifon a foufferr.

A

dieu, chere Lucie. Quelle lettre je vien!

d'écrire !·Les dernieres lignes fuffuont feules

pour fuire connoirre que

j'

ai le creur

&

la

tete affoiblis.

.

L E T T R E

X X X V.

Mifs BY

Ro N ·

,

a

Mifs S

:E

IIB Y.

Sa-m~di

, 4 Mars• .

SIR

Hargrave Pollexfen eíl: venu voir

e~

matin M. Reves; on lui a décfaré

d1i

moinS>

que cette viúre étoit pour lui ; mais érant

malheureufement en bas, je n'ai

pu

me dif–

penfer, fans impoliteífe, d'emendre ce qu'il

:i.voit

a

dire.

Il a propofé d'aller au cnateau de Sel

by ,,.

pour implorer le pardon de toute ma

fa–

rnille ; mais les objeéhons de M. Reves hii:

ont fait perdre cette peBfée. Il n'a cherclié

>-,