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L. .••.
qui s'étoit dérobé aufli en fortant de
table,
&
qui venoit prendre
le
thé avec noos.
11
nous a dit que tout s'étoit paífé
fort
civilement dans cene étrange partie ,
&
qu'il étoit perfuadé que la conduite noble de
fon frere, feroit w1e forre impreílion fur fes
convives. Sir Charles doit partir lundi pro–
chain pour Cantorbery, pour Cantorbery,
ma
chere
!
&
milord a propofé
a
fa
femme
,
d'aller paífer quelques jours
a
Colnebroke,
pour attendte qu'une nouvelle maifon qu'il
prend
a
Londres, foit en état de les rece–
' 'oir.
11
efpéroit, a-t-il ajouté, qu'elle enga–
geroit aifément miíS Grandiffon
a
les accom–
pagner;
&
files deux
f
reurs pouvoient obte–
nir · que mifs Byron fUt aufli du voyage, il
ne voyoit rien
a
déíirer de plus heureux.
Il
fe flattoit meme que
!ir
Charles ,
a
fon re–
tour , viendroit paífer un jour ou deux avec
nous. • . . . Mlladi a
fi
peu douré de mes
di(-
- pofoions, qu'elle s'eft tournée auilitot vers '
M.
&
Mad. Reves
~
pour leur demander
fi
cet arrangement ne leur déplaifoit pas. Je
)es ai confultés auíii par un regard. Ils ont
donné tous deux leur confentement avec un
fourire.
Ce Cantorbery occupe toutes mes idées.
On
y
efr revenu affez naturellement.
Ma–
tfame Reves a parn furprife que
fir
Charles
fa(fe un fecret des motifs qui le conduiferu
íi
fouvent dans cette ville. Sans les connoitre,
;i.
répondu milord
L. ...
je
ju
ge q_u'il y
entr~
moins de plaifir
que de peine.
Miis
Charlorre