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pouvant effrir
a
chac,un d'eux- nne royautc
passagere' tous chercheroient
a
s'y
preparer'
a
s'en renclre dignes' tous
menageroien~
l'opi..
nion publique
et
apprendroient les
devo~rs
des
, rois.
I1
me semble anssi que l'election pour
la
regence
nppelleroit
a
certaines epoques lave–
rirable source
de·
la royaute. Et
il
est hon
que
ni
les rois, ni les pei.tples ne l'oublient.
»
(~
Le systeme des elections 'est
d{)aC
tres–
convenable' messieurs' et meme tres-plau–
sible , tres-favorable, avec quelque legerete
iJU'on l'ait traite dam un premier appers:u.
~,
.(( Cette qu<:'Stion sous le point de vue electif,
a
ttn grand desavant11ge
a
etre traitee pour
nous et parmi nous. Assoupis
et
presque incor–
pores
a
la
royaute here<litaire par
la
plus longue
df's h abitndes, nous l'avons reconnue
c~mme
preexistante
a
la
~onstitution
' nous n'avons
pas meme tourne notre pensee.
a
un mode
,d'election ' parce
que
nous . n'en avom pas
besoin. Mais, ccrtes, de ce qu.e la solution
de ce
probleme
ne
nous est pas necessaire,
il
re
s'ensuit pas
qu'il
soit insoluble. '))
" Eh
!
ponrgi1oi
tranfporteroit-on
clans
i.tne ipstitution
qui
n'entraineroit pas les incon–
_veni.ens
avoues des
elections, les
inconv_eniens
.i.Acontestabl~s
de
l'heredit&
? ))
Mais