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:VII ,
aux
MontrrtoTency et
aux
Guise
s~t~
Frarn;ois II,
et
i:o~
ne pense pas que la oil
i1
n'y a phts .de
tc:fr absolu 'un
regent n'est plus
un.roi absolu
f,.
'' Alors tombent toutes ces 01.jetlfons
de
t'ei:ifant de la faveur populaire ,
qqi,.
hientbt
nsurpatear de
la
roy<lute '·rival heureux de
toutes Jes antorites leg.itimes, va renverser ert,
im
nioment toute
la
constitution, fouler
au'!
pieds .tolites !es loix, et font cela '
aux ap–
plaudiss€mens de cette nation dont
l~estime
et
la
faveur l'ont po.rte
a
une plae'e ' qui ,
~omme
toute,,
autre ,
a
ses
limites ,
$e~
!iurveillans ,
ses envieux et
ses ennemis..
,']'out
cela est exagere , tou':: cela est dfrai–
sonnabl~.
Ce qui ne l'est pas, ce me semble,.
~'efl:
que le choix du regent, etatlt en soi assez
indifferent, il vau
t
mieux suivre la pente
d<f
nos gofrts
7
de nos
hab~tudes'
&
fixer
le
regent~
a
l'avance et sous un mode i1wariable; et pour
rest1mer en pen de mots les av.antages que
.l'on vob1s
y
a
montres;
i
0 •
qne
la
delegation·
'cile la
n\gence
au
parent te plus proche tint
d'c'.lvantage a\:lx idees rec;ues ;
2
o-.
qu'il seroit
peut-etre ·
dang~reox
d'offrir le spectacle d
't.me,regcnce elective
~
cote
d'une royaute·heredi-–
taire; 3°. que le pa.rent le plus rapproche du
trone'
sera
Gense s'etre mieux
prepare
a
i:em:
/