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.,

( 161 )

,, NUL N"OZAST OUVRER FORS ARGENT, SIGNE DIJ

t>

SAIN LE ROI.

n

Arretque lcs directeurs sont obliges d'eluder d'une

NoteErelt..:

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tive aux

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,, mantere _pre1u 1cia

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c use puc 1que,

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veu-

ties-paientc~

,

,-, lent se mettre a couvert des pertes auxquelles ils.

qnifixenl

l~

,, sont inevitablement exposes par le gouvernement. ,,.

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(Page

3

r. )

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~.

Au mois de juillet de l'ao_n:6e

17g8

(tandis que l'on ,

·:rirocedoit

~

la verification des anciennes especes d'or'

pour decouvrir s'il etoit vrai que Jes anciens louis n'e_

toient qu'a

21

"karats

17

trente-deuxienieforts, comme

l'avoient annonces Jes experiences faites sur la

fin.

de

l'annee

17g5)'

on vouloit trouver ce.s experiences de

1785

fautiYeS; en oonsequence on engagea MM. Jes

commissaires

a

exiger des essayeurs une. precision ex–

trema, en Jes forc;ant d'etendre leurs calculs jusqt1'<i

·un

~

trente-deuxieme pres: c'est-a-dir.e'

a

la

128e

partit:

'Ue pesanteur d'un grain d'orge. Exiger un poids de

la

128

6

partie d'un 'grain d'orge, pour une expeiienccr

·qui ne donne que des resultats d'Uli1e approxirnation

plus que douteuse, c'est exiger

Lme

im.po.ssibilire~e

/

absurdite : l'exiger pour une operatio.n ou

1z

grains doi–

vcnt donner le juste resultat pour cent miIle mares' c'est

y

ajouter l'oubli de tout principe de justioe et de raison ;

c;'est afficher !'ignorance ou la

m~ovaise

foi. He bierr!

eette 'absurdite a ete exigee .par M. Thevenin., premier

president de Ia cour des monnoies, consentie parson coa–

irere, le president' Bouffret; et appuyee par MM. Boutin,

L l