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tette
note est bien longue'
je
dirai cependant en–
tiore en me .resuma 1t' qu'un regime monetaire et de
bonnes monnoies doivent etre l'objet essentiel de
notr~
travail actuel; que .Ja doctrine de la proportion n'est
qu'une pc>rtion de la doctrine monetaire ;
~t
comme Jes
proce<lets pra:iques des donnees theot'iq ues dependent
des cj.rconstances, et non du ca'price , marcl:ons
a
pas
lent~
:>ur ces rochers escarpes; ethappons aux precipices;
lorsque nous serons en plaine, et qu'il n'y aura plus de
dangers , nous ferons des pas de geant,
N. B. La Note
C
comprenant
·dmx
tableaux, se
re~~ir:;!tesaq
trouve
a
la fin.
,,
(D
)
A
supposer qu'une administration de ce genre
( vente exclusive de !'or et de l'argent) atrribuee
a
la
nation, deja adoptee
par
p~usieur~
gouvernemens;
Je vais citer quelques passages qui appuient . cettc
~erite·,
et d'abord
Boutcroue
dit:
Et meme autrefois en beaucoup d'endroits, pour em.
pecher ces ab9s, ii n'y ;woit que le piinte qui pt"1e: Jes
les ach'eter en·
mass~
et en lingots,et Jes revendre. Cela se
pratiquoit chez Jes remains; on les a quelquefois imites
en Erance , et quel'ques princes d'AIJemagne, qui on't
des mines', l'observent encore avec
b~aucoup
d'utilite;
(Bout. Recherches etc. Introduction , page '5).
Cenu:mus
ne
quis absque pra:cepto .viri illustris comi.–
tis sacrarum
liJ.rgitionum coquendum aurum
sl!tmut.
(
L,
111ni. Cod. de auri pub. prnfet. )
L
2
commerce ex•
cliu1f
des
m~
tauxprecieux.