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vous.
Il
est peut de réflexíons
fondan entalr
sur cette matiere qui ne vous aient --'
1
té pré–
stntées en différens tems. Je veux seulement
les
'Yappeler
a
votre esprit : réunies en un
faisceau, elles en seront plus lumineuses et
plus
sensibles;
et vous vous étonnerez peut-etre
qu'on
reproduise
encore
une
proposition ,
je
ne dirai pas si se>uvent écartée par e ette as–
semblée , mais repoussée tant de
fo is avec
toute l'énergie de sa vertu et de sa justice.
H
«
Nous travaillons
a
un
systém~
général
d'imposi1ions
;
nous cherchons
a.
les répartir
convenablement sur les
diverses
classes des
propriétaires ; et quelques membres ont saisi
cette circonstance , pour traduire de nouveau
devant vous
un
ordre particulier
de
créanciers
publ~cs
,
comme devant
subir ,
dans leurs
créanc€s , cet
impot
dont
vous
discutiez les
bases. Or, Messieurs , Je pens e qu'il
y
a da ns
·cette
opinion de
grand.eserreurs , des erreurs
funestes;
telles, en un mot, que,
pour l'hon–
neur
ee
cette assemblée, de sa morale , et
" Enfin,
f
espere que l'on trouvera dans cet écrit tout
ce
c¡
ui
est nécessaire pour
l'éclaircissement
d'une
~ ucs~ion
assez peu .connue.
Note de
l'vlirabeau.