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(

25

I

)

rentes dues par l'état, ce n'est pas que je me

flatte

d'y

porter des vérités nouvelles pour

(L

u

ne autre raison m'a tléterminé

a

publier ce discours'

on voudroit

faire

croirc aux départemens

que

le

parti

populaire de

l'assembL~e

a

moins

a

creur

leur~

in.térets

que ceux de la capitale; et

l'on

prétendra peut-etre

leur en fournir

un exemple

par

le d¿cret du

4

décembre. ,,

((Je ne'crains pas, je demande mcme

avec

confümce,

que les départemens soient juges dans leurs propres

causes. Ils ne separeront pas plus que moi une partie

de la France d'une autre partie. lls ne voudront pas

clistinguer, dans

l'unité de

notre

constitut1on ,

les

departemens

d'nec

la

c1pitale ;

quan<l

il

s'agit

de

l'interet commun et de l'honneur de tou:: le royaume.

On ne leur persuadera pas que ce qui est jusre en

soi,

ce qui

tient

a

la fidélité

n~tiona1e'

et

a

taus

les

grands

princ1pes

de

crédit public)

puis~e

étre cnvisagé

rlifferemment

par

des

Fran~ais

patriot s , selon

les

_ differentes

parties du royaume qu'ils

habite1it.,,

(( Et s'ils descendent

de

ces grands princi pes

ce

JUS–

tice génerale,

qui sont

les

prem~eres

bases d'vne

adrninistration Aorissante,

a

des

intérérs

p~rticuliers;

i1s verront que

~es

intércts

bicn-cnten1.L1s

donnent le

I!:cme

résuitat que

la

just;ce. Ce n'est pas aujourcrhui

']lle l'on pe!..1t

doutcr que Paris

et

le reste de l'lir::1rire

a:/ant

des

rapports intimes

et nécess:t!res, ce ne

fut

hi~n

m:ll

e1~t~adrc

li.:s

avant3ges

de l'un, q::¡e

de pré–

tendr(;;

le

servir

:iu:~

d¿pens

Je

l'autrc. ,,