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I
s e o u
R
s
sur la proposition faite
a
t
As–
.semblée Nationale, par
1\1.
Lavenne, d'impvser
les
rentes
,
j
ugée dans
la
séance
J¡¡,
4 décembre
1790
(1).
ME
s s
1 E
u
RS.
<'
Si je parois
a
la tribune, au sujet de la
proposition qui vous a
été
faite
d'imposer
les
,, (1)
C€ discours devoit
etr~
prononcé
a
l'assemblée
nationale, le comité d'imposition a reconnu dans le
rapport q u'il a ét¿ chargé de faire au sujet de la pro–
position
d'imposer
les
rentes , que cette
imposition
particulíere seroit contraire
a
la justice et aux décrets
de
l'assemblé~.
n
<e
Je ne do
u
to is point que ce rapport ne
füt
combattu
_f)ar les auteurs de la moti0n ; et j'avois résolu de
traiter ce sujet, de maniere
a
ne laisser aucune obscu.
rité sur les príncipes , et ancune couleu r aux objec.
tions. La discussion
a
été
fermée, avant que j'aie pu
prononcer
le discours que j'avois préparé. Mais les
singuliers
amendemens proposés en foule sur le sage
décret qui a
été
rendu , m'ont prouvé que la prin–
cipale question avoit besoin encare d'etre éc1aircie, ·
et qu'il falloit
o
ter
a
nos adversaires le prétexte
de
din:
)
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d
\
M L
qu en n ayo1t
pas repon u
a
.....
avenue."