L
380
1
prives'
ni d'hommes publics; des nommes ; ·
enfin,.
qui,
sans
tache'
sans,
inten~t
et
sans
c~ainte,,
s'honoreront jusqu'au tomheau de 1eurs
amis et de leurs ennemis. '"
)~ J~
conclus
a
ce
que
Yon
mette
e-n
deli–
be.ration mon
projet
de
decret,
atnende -par
M.
le Chapelier. )'
.
1V1IRAB£~U
ne sortira pas de
la ·
seance en
lambaux
;.
il.
vient
d'
obtenir le
triomphe
le plus
complef : des applaudissememens presque una–
nimes
lui
lont
appris
qu~il
avoit
conva1ncu
:meme-
la .maj'orite des detracteurs
d€'
son
sys~
te1ne .. -
On demande de tous
cotes
a
aller
aux voix. -
Un
decret
prononce
que ]a dis..:.
cuss.ion est
fennee ..
u
Cependant Mirabeau
· demande- que M. Barnave soit entendu .. 11 l'ob–
tief!t~
... Mai's.
M.
Barnave
ne
developpe
pas.
dans
Set
replique ,
le
n1eme
talent
qu'il avoit
mi~
dans son
prem:ier
discours. -
La
priorite
est . sollicitee pour le projet de
Mirabeatt.–
M.
de la
Fayette
l'appuie avec beaucoup
de
forc:e. -
Et
le ·
projet
de
Mirabeau
a
la
p~i~-
rite.
»
'
.
. .
.
M.
Freteau
·Veut
amender ainsi le
premier
article. -
.Le droit de paix
t~
de guerf;e
appar-.
tient
a
la nation
:
la guerre ne pourra. etre decidee
qu~
far y,n
decre~
de
l'
assemble~
p,ationale ,
q~
\,..
I~
I•
•