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le pouvoir
Ugislatif,
c'est-a-dire, un acfe
emane
des representans de la nation, et sanctionne par
le roi, et nous sommes
parfaiten1ent
d'accord,
sinon
dans
la
pratique ,
du moins claps la
theorie ;
et
nous
verrons
alors
si mon_
dc–
cret
ne
realise
pas mieux que toute autre
cette
theorie•'
>~
~'
On
vous
a
propose
de
jug~r
la
c_~uesti~n
par le parallele de ceux qui soutiennent
l'affirmativ~
et
la
negative;
on vo,us a
dit
que
VOHS
Verriez d'un
cote
des hommes qui
e~percnt
'
d
1
,
•
\
I
s avancer ans es armees, ou
parv.cnir
a
gerer
les atlaires
etrangeres;
des hommes qui sont
lies
avec les
ministres
et leurs agens; de
l'autre, -
le
citoyen
.pais_ible,
f!ertueux,
ign_ore
,
san~
_ambi-
,
tion, qui
tro·uv~
son bonlzeur
et.
son existence dans
l'
existence 9-dans le
b~nhertr
commun.
;~
»
Je ne suivrai pas cet exemple.
Je
ne crois
pas
qu'il ioit plus conforme
aux conveHances
.de la politique qu'aux
principes
de la morale,
d'affiler le
poignard
dont on ne sauroit !?lesser
s·es rivaux ,-
sans en ressentir
bient.otsur son
propre sein les atteintes.
J
e ne crois pas qtte
des
hopimes
qui doivent servir
la
cause
publiq:ue en
v<tritables freres
d'armes,
aient
bonne
grace
a
se
combattre en
vils
gladia–
teurs'
a
!utter
d'impu;tations
et
d'inttigues'