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J
ment de
M.
le Chape
1
ier, qui
retranche cet
article.
»
)' 11
est plus que terns de terminer ces longs
-debats. Desormais
j'
espere
qtte l'on
-ne
dissi–
mulera
plus
le
vrai
point de la
d~fficulte.
Je
veux
le
concours du pouvoir
executif
a
l'ex–
pression de la volonte genJ.rale en
fait
de paix
et
de guerre, comme la
constitu' ion le
lui
a
attribue
clans
toutes
les
pc.irties
dej<\
fixees de
notre systeme
social. ... Mes adversajres ne le
veulent
pas. Je .veux
9ue
la
surveillance
de
l'un
des delegues du
peuple
ne
l'abandonne
pas
clans les
operations
les plus importantes <le
la
politique;
et mes adversaires
veulpnt
que l'un
cles
delegues
possede exclusivement
la
faculte
du droit de
la
guerre'
comme
si'
lors
meme
que
le pouvoir executif scroit etranger
a
la
confection
de la vo1onte
genera
le, nous avions
a
deliherer sar le seul
fait
de
la
declara~ion
de la guerre, et que l'exercice" de droit n'en-
"
/\
I
•
d'
I
•
•
t
tra1nat pas
une
sene
opcrat1ons
m1x
es
,
ou
l'action
et la volonte se pressent et
~e
confondent.
'>
H
Voila la
ligne
qui nous
sepa
·~.
Si
Je me
trompe,
encore une
fois,
que mon
adver~aire
m'arrete, ou plutot qu'il substit
1
1'2
clans
sen
de–
cret,
a
ces mots,
le corps !Jgislatif,
ceux-ci
1