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• 7
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é-0urage d'observer que les ma.ndats illímitéG
a
certains ·égards ~.défendoient expressément
I
~le
cons
entii
siucun
e~prunt, ou
cfucun
impot,
avant
l'achevement de
la
.constitntion.
1
M. de Laléy-
t
pa.r_la en
faveur áe l'em'prunt ·;
--et
c-00.dut a
ce que le
projet
en
füt
examin6
Fªr 1~
,co111ité
des finance§.
.
,
M. de Blacon
proposa ,de consentir~
et
d'as-
signer pour gage
les bien~ du Clergé.-
M..
M.IRABEAV.
_,
.
;
/
,, J'avoue que Je
sms
presse ~nt--re la né:
, c·essité d'un emprunt, -et la lettre impérieuse
des
maridats-.
La
premiere
idee
qui
se
présente
a
moi' c'est
de
donner
l'exepiple
·des, contri–
hutions patriotiques
et
volontaires"'
r
Offrons
n~tre
cred_it in4ividuel ; voila-
ce que
nous
de–
vons
a
IlOl1S
mem.e,
et
a
la
C
?O.St"
puhlfque
:
s'il
faut
qúelque cho~e
de plus,
adresso~s
noúi
a
nos
'COmmettans
,
demandons leur autorisa–
-tion ,
·p-01rr
subvenír
au
courant, de mois
ea
inois; sur-tout, faisons convoquer les assem–
i}lées
provinciales, afin
qt1'
elles
pourvoyen·t
aux
moyens
·de
rétablir
les
perceptiohs
et ·
de.
, rendre
aux provinces
la
t ran.quillité.
Au
reste,
c·e que je ·dis
·i~i ,
n'est peut-etre pas ~e que
je /proposeroi~·, si j'avois
'le,.tems de
réfléchir ,'
(511,l
moin~
je no fassure pas: .ma1s
j@
concl~
l.'
·,